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sábado, 17 de agosto de 2013

Aujourd´hui en Simultané diffusion du Congres National Indigene convoqué par l´EZLN

Chiapas: 17 y 18 de agosto cátedra “Tata Juan Chávez Alonso” en el primer aniversario de su ausencia

Aujourd´hui sera diffusé en Espagnol, en Francais et en Anglais, en simultané, la Catedra Juan Chavez Alonso, convoqué par l´ezln et d´autre organisations indigenes.

Plus de 122 représentants de tribus, communautés et ethnies sont venus présenter leur lutte, leur histoire, et leur résistance.


L´objectif de ce congres est d´etre itinérant.

Le Congres National Indigene ne s´était pas réunis depuis 2007, aux rencontres du VICAM. La suite de l´evenement avec la présentation des peuples et des luttes.

Vous pourrez suivre en direct le congres sur:



Premieres interventions en Francais, du CNI

Voici les trois premiers textes qui débutent la Catedra

Chiapas: 17 y 18 de agosto cátedra “Tata Juan Chávez Alonso” en el primer aniversario de su ausencia


Paroles de Juan Chavez Alonzo Rodriguez
Frères et sœurs,
Bonjour à toutes et à tous, le peuple p’urhepecha vous salue cordialement. Nous saluons le Commandement Général de l’Exercice Zapatiste de Libération Nationale, au Congrès National Indigène, à la société Civile Nationale et Internationale ici présents. Notre frère ainé, Juan Chavez Alonso qui n’est pas présent physiquement avec nous, mais sa pensée, sa digne sagesse, son cœur se retrouvent dans chacun de nous.
Je veux partager les moments de la vie que j’ai partagé avec lui, il nous a enseigné l’amour pour la Terre mère, la valeur qu’a notre maïs sacré, l’amour de tout l’habitat, les forêts et les fleuves, les plantes, les marres, les minéraux, tout ce qui constitue le véritable territoire des peuples originaires de cette planète Terre. Il nous a aussi enseigné à renforcer notre véritable culture, a continuer d’être les peuples que nous sommes, à savoir exercer nos droits, à la libre détermination, base de l’autonomie pour pouvoir décider de notre destin, au bénéfice de nos nécessités, en prenant en compte tous ces désirs qui étaient son souhait sont reflétés dans les Accords de San Andrés Sacamch’en de los pobres, signés par l’Exercice Zapatiste de Libération Nationale, le Gouvernement Fédéral et la Cocopa dans les années 1996.
Pour la reconstitution intégrale des peuples originaires. « Plus jamais un Mexico sans Nous »
Paroles du professeur Francisco Reyes Morales
Chari sesikijimbo en´katzi ishua jaka llaminduecha.
Avec votre permission à vous tous ici présents, avec la permission du Commandement General de l’Exercice Zapatiste de Libération Nationale du Congres National Indigène, des adhérents a la Sixième déclaration de la Selva Lacandone, National et International. Les peuples originaires de tout le pays, venant de très loin dans le temps, sommes ici présents, les indigènes, et non les indigènes oubliés, femmes et hommes simples qui n’avons pas de relation avec le mauvais gouvernement émanant des partis politiques. Parler de Tata Juan Chávez Alonso c’est parler de la défense de notre territoire comme nations, tribus, communautés et quartiers, les conditions d’expropriation dont nous souffrons tous, la destruction de la terre mère, l’exploitation, les abus et l´humiliation du système capitaliste. Notre mémoire comme peuple, dans ce processus de lutte, de prise de conscience et de réveil de nos peuples originaires, des hommes tel que Tata Juan Chávez Alonso qui ont lutté pour que nous ne désapparaissions pas comme peuple, cela vaut la peine d’offrir avec amour et sacrifice notre vie à une cause si digne, après des siècles de mensonges et d’espoir vains laissant ainsi l’appauvrissement, la corruption et la misère provoqués par les riches, complices des mauvais gouvernements. Il est temps que nous soyons désormais les architectes de notre propre destin, que la nation toute entière lutte pour un nouveau pays, dans lequel il reste plusieurs mondes, que nous fassions notre propre chemin, que nous cherchions des formes de partage rationnelles et de développement équilibré, sans impliquer la destruction de notre environnement, c’est ce dont l’humanité toute entière a besoin, contre le modèle néolibéral qui veut nous priver des sources de survie en vue de nous soumettre, de nous enlever les savoirs de notre production alimentaire et notre vie communautaire, qui sont la base de la résistance. Tata Juan, ton départ nous fait souffrir jusqu’au fond du cœur, tu es une référence à suivre pour nous les peuples originaires. Plus jamais un Mexique sans nous.
Irieta Púrepecha. (pueblo Purepecha).
Communiqué du peuple Kumiai
Bref message des frères Kumia de San José de la Zorra.
Nous voulons faire savoir aux compañeros y compañeras réunie(s) dans la Cátedra que les peuples natifs de Basse Californie et plus précisément de SanJosé de la Zorra, bien que nous ne soyons pas tous présent, nous sommes là et nous continuons la lutte pour la récupération, la protection et le respect de nos terres, de nos cultures, de notre eau et de nos forêts, ainsi que de tout ce qui vient de nos dieux, nous sommes les indiens Mat tipay de la tiera.

viernes, 16 de agosto de 2013

Diffusion en direct et en francais de la rencontre du CNI

Aujourd´hui 17 aout 2013, commence le Congrès National Indigène "Catedra Tata Juan Chavez" convoqué par les organisations indigènes et l´Armée Zapatiste de Libération Nationale, EZLN.

Cette rencontre devrait réunir plus de 100 peuples à travers tout le pays et sera l´occasion de relancer le processus démarré en 2007 a Vicam pour "soulever une tribune là où les peuples originaires du continent seraient écouter par ceux qui auraient une oreille attentive et respectueuse de leur parole, leur histoire, leur lutte de résistance."

Un évènement qui sera diffuser en direct et en français sur seminarioscideci.org, de 16h à 2h du matin heure française. Vous trouverez aussi des résumés des interventions en espagnol et en Français sur seminarioscideci.org .


Plus d´information sur la Catedra Tata Juan Chavez Alonso. 
http://espoirchiapas.blogspot.mx/2013/08/le-cni-convoque-la-catedra-tata-juan.html


Le CNI convoque a la catedra tata juan chavez alonso

L´Initiative zapatiste arrive à réunir les peuples indigenes du Mexique.

L´un des faits les plus marquants qui a marqué la vie du Congrès National Indigène fut la trahison en 2001, que l´état Mexicain a fait durant les accords de San Andrés signés avec l´EZLN en février 1996.

La défense autonome des territoires et culturel ancestraux face à leurs principales menaces (mines, tourismes, barrages, gazoducs, projets éoliennes, routes, entre autre mégaprojets...) la construction et exercice de l´autonomie, et son renforcement interne, sont les préoccupations et demandes des peuples, nations, tribus et colonies indiennes du Mexique, qui conforment le Congrès National Indigène (CNI), instance en réseau qui sera "relancée" dans la récemment annoncée " Catedra Juan Chavez Alonso", qui se fêtera ce week end à San Cristobal de Las Casas.

Le cni a été convoqué en janvier 1996 et conformé en octobre de cette même année par initiative de l´Armée Zapatiste de Libération Nationale" (EZLN). Au cours de ces 17 ans, les peuples indigènes ont affronté diverses offensives gouvernementales, mais aujourd´hui comme l´ont dit dans la communauté Wixarika de Bancos de San Hipolito, " comme jamais il existe une attaque intégral avec de multiples fronts contre nous, et les saccages aux territoires de la part des caciques, entreprises et les mauvais gouvernements sont devenus plus agressifs dans leur guerre d´extermination qui a commencé il y a plus de 500 ans".

A un an de la mort accidentelle de Don Juan Chavez Alonso, purhépecha de Nurio Michoacan, fondateur et leadeur moral du CNI, l´ezln et plusieurs peuples indigènes de tout le pays, ont annoncé qu´avec "leur regard comme horizon", les organisations indigènes se réuniront en aout pour "soulever une tribune la ou les peuples originaires du continent seraient écouter par ceux qui auraient une oreille attentive et respectueuse de leur parole, leur histoire, leur lutte de résistance."

Ouverte au public et pensé pour donner continuité a la première rencontre des peuples indigènes d´Amérique, célébré en octobre en 2007, au Vicam, Sonora, dans le territoire de la tribu yaqui, la Catedra Tata Juan Chavez Alonso, prévoit aussi "avec une convocation plus large" le renouveau de la CNI pour lequel se fera "un appel commun avec les peuples originaires du continent."

Le premier évènement de la catedra sera les journées 17 et 18 aout de 2013, mais on prévoit, dut a son caractère itinérant la réalisation d´autres cessions dans "divers points de l´Amérique originaire dans tout le continent, conformément a la géographie et le calendrier qui seront prise en accord avec leurs convoquant et ceux qui adhéreront à cette opportunité".

Dans la catedra seront les organisations indigènes, des représentants, et délégués de villages, communauté et quartiers originaires, qui prendront la parole et raconteront "avec leur propre voix leurs histoires, douleurs, espoirs, et surtout leur lutte de résistance."


La tribu Yaqui de lutte contre l´aqueduc Indépendancia avec lequel ils comptent couper l´accès a l´eau, le peuple wixarica qui défend le site sacré de Wirikuta, et le reste de leur territoire contre les mines, la communauté coca de Mezcala qui ne se rend face à la défense de leur ile, et de son patrimoine culturel, l´assemblée populaire Juchiteca en pleine résistance contre les projets éoliens, le peuple ñahñu de Atlapulco qui continue la défense de leur territoire contre un projet routier, font parties des convoquant qui signent en dessous de la comandancia générale de L´EZLN

Difunsion en vivo en ingles e frances de la catedra tata juan alonso chavez


Hoy, día 17 de agosto del año 2013, inicia el Congreso Nacional Indígena 'Cátedra Tata Juan Chávez' convocado por las organizaciones indígenas y el Ejercito Zapatista de Liberación Nacional, EZLN.



Este encuentro reunirá más de 100 pueblos originarios de todo el país y será la ocasión de lanzar de nuevo, el proceso iniciado en 2007 en Vicam para levantar 'un espacio en el que sea escuchada, sin intermediarios, la palabra de los pueblos originarios de México y del Continente que llaman “americano”.

Un evento que sera difundido en vivo y traducido al Ingles y Francés en el sitio internet de seminarioscideci.org, de las 9.00 a las 19.00 hora de México.

También se dará resúmenes de las intervenciones en español y otras idiomas en este mismo sitio.

lunes, 12 de agosto de 2013

Las Abejas denuncian la reactivacion de los grupos paramilitares desde la liberacion de los autores materiales de la masacre

Este 12 de agosto fue una fecha especial para la Sociedad Civil Las Abejas. Hace 4 años la Suprema Corte de Justicia de la Nacion libero a mas de 20 paramilitares autores materiales de la masacre de Acteal en 1997. Desde esta fecha se han multiplicado las decisiones de la SCJN para liberar a mas paramilitares. Ahora solo se quedan unos 6. 
 
A 4 años de la liberacion, los paramilitares han vuelto en Chenalho, y estan reactivando grupos paramilitares en especifico en Colonia Puebla. Aprovecharon de ese dia simbolico para dar una conferencia de prensa, en las oficinas del Centro de Derecho Humano Fray Bartolomé de Las Casas.

Primeramente hizo la presentacion de la conferencia un miembro de la Frayba, frente a una quincena de periodista, oficial, independientes y libres. Tomo la palabra Juan Vazquez Luna para leer el comunicado de la organizacion (que podran encontrar ahi abajo)

Luego tomo la palabra en tsotsil el sobreviviente de la masacre Mariano Luna. Denuncio que eso lo "hacia pensar a 1997" denuncio que "regresa el dolor y las amenazas, a Agustin Cruz le gusta la violencia, queremos que regresen en la carcel", y por fin declaro: " ya regreso la tristeza y el miedo"
Maria Vazquez sobreviviente de la masacre, igual tomo la palabra, exigio una verdadera investigacion, denunciando que "no hay justicia, nos tratan como animales".

Por fin Agustin otro sobreviviente, tomo la palabra en tsotsil para contar lo dificil que es vivir en esa situación, que les toca el miedo para ir a trabajar su milpa.
Para acabar la conferencia el actual presidente de la Mesa Directiva de Las Abejas tomo la palabra para decir que esta situación es "triste y lamentable" "Hay comunidades que sufren y que no solo son abejas, hay priista y bases de apoyo" hablando del caso de la colonia puebla, donde evangelistas siguen amenazando católicos. Denuncio igual y mas que todo la reactivacion de los grupos paramilitares en Chenalho, desde la liberación de la cárcel de los autores materiales de la masacre.


Podran leer aki el comunicado de las abejas para ese dia:












Organización de la Sociedad CivilLas Abejas
Tierra Sagrada de los Mártires de Acteal
Acteal, Ch'enalvo', Chiapas, México.

12 de agosto de 2013



 

A las Organizaciones Sociales y Políticas
A las y los Defensores de los Derechos Humanos
A los Medios de Comunicación Alternativos
A la Prensa Nacional e Internacional
A la Sociedad Civil Nacional e Internacional
A las y los Adherentes de la Sexta Declaración de la Selva Lacandona


Hermanos y hermanas:


Este día cumple 4 años de que la “Suprema Corte de Justicia de La Nación”, (SCJN) que esta corte para nosotros y nosotras, es, “Suprema Corte de ricos y criminales”, excarceló desde el 12 de agosto del año 2009 hasta este año 2013, a 69 paramilitares, (entre ellos varios confesos), y ya sólo quedan 6 en la cárcel. Cuando nos enteramos de que los ministros de la “SCJN”, iban a amparar a los asesinos de Acteal, intentamos hablar personalmente con los ministros (confiábamos en que ellos servían a la justicia y al pueblo de México); sin embargo, no quisieron atendernos y escuchar nuestra palabra verdadera, sobre la masacre de Acteal. Porque la excarcelación de los paramilitares, estaba planeado desde la presidencia de la república; porque Acteal, es un crimen de Estado.

Hoy, denunciamos ante el pueblo de México y el mundo, que los paramilitares de Chenalhó, ya están reactivados, disparando sus armas y están causando desplazamientos como en el año de 1997.

Una de las actividades recientes de violencia de los paramilitares, se está dando en la Col. Puebla, del municipio de Chenalhó, con el pretexto de una disputa de un predio de la iglesia católica, (este problema la Parroquia de San Pedro Chenalhó, denunció públicamente. Es importante hacer memoria que la Colonia Puebla y la Colonia Miguel Utrilla Los Chorros, son las principales cunas de los paramilitares, quienes en el año de 1997, cometieron la Masacre de Acteal.

Ante la falta de justicia e investigación verdadera de parte del gobierno mexicano, en el caso Acteal, los paramilitares excarcelados y sobre todo los que nunca pisaron la cárcel, hoy agreden y hostigan impunemente, porque, se les ha hecho ver, que masacrar a mujeres, hombres, niños y niñas, en vez de recibir un castigo, reciben premios de parte del mal gobierno mexicano.

Lo que está pasando ahora en la Colonia Puebla, tiene los mismos patrones y tácticas de la guerra de contrainsurgencia, de la campaña, “Plan Chiapas 94”, encabezado por el entonces presidente de la República, Ernesto Zedillo Ponce de León.

Una de las pruebas del regreso de los paramilitares excarcelados en las acciones de guerra sucia, es, su participación en la disputa del terreno de la iglesia católica de la Colonia Puebla. A finales del mes de julio del presente año; un grupo de personas, dirigido por Agustín Cruz Gómez, comisariado y pastor de la religión presbiteriana; realizaron un plantón en el Zócalo de la Ciudad de México. En un boletín de prensa que publicaron durante su manifestación, dice, un fragmento, ...Venimos en plantón a la ciudad de México, para pedir la intervención de la Federación, del poder Ejecutivo, Legislativo y Judicial, para resolver la terrible situación desde 1997...

Este grupo del pastor Agustín Cruz, se burla de la verdad de lo que está pasando realmente en la Colonia Puebla; porque, en su boletín, ahora, se presentan como víctimas y que ellos quieren la justicia y la paz. Y a nosotros y nosotras Las Abejas, nos acusan, de provocadores y asesinos. Con esta situación confirma que el problema de la iglesia en Puebla, es parte de la guerra de contrainsurgencia y de la guerra sucia de los paramilitares. Y que se entienda que nosotros no estamos mintiendo, ni estamos manipulados por la Diócesis de San Cristóbal y ni por el Centro de Derechos Humanos Fray Bartolomé de Las Casas, como dice el boletín del grupo del Comisariado y Pastor Agustín Cruz.

La prueba que tenemos de la reactivación de los paramilitares en Chenalhó, es que, en el plantón que realizaron en la Ciudad de México; ahí estaban apoyando los paramilitares excarcelados: Roberto Méndez Gutiérrez, comandante paramilitar y asesino confeso por la masacre de Acteal, habitante de la Colonia Miguel Utrilla Los Chorros; Jacinto Arias Cruz, excarcelado, y alcalde del municipio de Chenalhó, quien enviaba armas a las comunidades paramilitares en el año de 1997.

El paramilitar Roberto Méndez, nunca se publicó y ni si quiera la fecha y cómo fue su excarcelación. Ahora, Roberto Méndez, es aliado del grupo de Agustín Cruz,  y además aparece su firma en el boletín que sacaron en la Ciuduad de México, como; “liberado y confeso”. Así mismo, Jacinto Arias Cruz, en un periódico local de Chiapas, sale negando que no es cierto que está involucrado en la disputa del predio del templo católico de Puebla, pero, esta vez no lo decimos nosotros, sino, él mismo, se desenmascaró, porque también él, aparece su firma en dicho boletín de prensa.


Otro dato que revela dicho plantón como parte de la reactivación paramilitar en el municipio de Chenalhó, Chiapas; es también la presencia del Sr. Manuel Anzaldo Meneses, Coordinador de Sociedad de Trabajadores Agrícolas de los Altos de Chiapas, conocido muy bien en el año de 1997, líder del Partido Cardenista, que militantes de este partido en conjunto con los priistas de Chenalhó, perpetraron la Masacre de Acteal.

Nuestra conclusión, es que, los que conformaron la campaña de liberación de los paramilitares y que emprendieron en el año de 2007 estas acciones fueron: El Centro de Investigaciones y Docencias Económicas (CIDE), Héctor Aguilar Camín, un grupo de Pastores evangélicos, Comité de familiares de los paramilitares, Manuel Anzaldo Meneses, entre otros; son los mismos que ahora están detrás del problema de la iglesia católica de Puebla. Quizá en este plantón del grupo de Agustín Cruz, no estuvo el CIDE y Héctor Aguilar Camín: Pero, no nos va a extrañar que aparezcan en algún momento, y salgan a defender y a escribir otra novela de lo que está pasando en Chenalhó, como lo hicieron con el caso de la Masacre de Acteal.


Nos causa indignación, que los paramilitares autores materiales de la Masacre de Acteal y los autores intelectuales, se estén pasando como luchadores por la justicia y promotores de la paz mundial; qué vergüenza.

 El Sr. Ernesto Zedillo Ponce de León, ex presidente de México y principal autor intelectual de la Masacre de Acteal, hace un par de meses, ingresó en la agrupación fundada por Nelson Mandela, The Elders; del cual, enviamos una carta directa a dicha organización de paz; diciéndoles que no es posible, que Zedillo, sea miembro de The Elders: Porque tiene manchada las manos de la sangre de pacifistas de Acteal. Con nuestra memoria y la del pueblo de México, no se escapa y se le olvida su crimen. Tal vez, el Sr. Emilio Chuayffet Chemor, otro autor intelectual de la Masacre de Acteal, pero, ahora disfrazado de secretario de Educación, cree, que él ya está libre; le decimos que no se lo crea.

A los autores intelectuales de la Masacre de Acteal y de otros crímenes del que son responsables; aunque la justicia mexicana les ampare y creen que no pueden ser juzgados; les decimos que no son libres, vayan adonde vayan. Nuestra memoria y la del pueblo de México y el mundo, los juzgará por siempre por sus crímenes. Cargarán en su conciencia la sangre de Acteal. Porque, en nuestras pláticas familiares, reuniones comunitarias, ceremonias, en la milpa, en nuestros sueños y en nuestros pasos; hablaremos de la Masacre de Acteal, de sus causas y de sus autores materiales e intelectuales. Ni Zedillo, ni, Chuayffet, ni los ministros de la “Suprema Corte”, ni Aguilar Camín, ni el CIDE, ni Manuel Ansaldo, ni los Pastores evangélicos que apoyan a la guerra de contrainsurgencia, se escapan de nuestra memoria.

Hermanos y hermanas, compañeros y compañeros conscientes que luchan también por un México más justo y humanos; les pedimos que estén pendientes de lo que pase en nuestro pueblo y de las acciones de contrainsurgencia del mal gobierno, para, acabar con nuestra lucha.

Aprovechamos en esta conferencia de prensa, mandar de nuevo, un saludo y felicitaciones a nuestros hermanos y hermanas zapatistas, por sus 10 años de nacimiento de los caracoles y de su práctica de un buen Gobierno Autónomo y de su resistencia ante las agresiones del mal gobierno.

También, queremos recordarles que este 21 de agosto, tenemos que ir a la manifestación por la liberación inmediata de nuestro hermano Alberto Patishtán, en la Ciudad de Tuxtla Gutiérrez.


Atentamente
La Voz de la Organización de la Sociedad Civil Las Abejas


Por la mesa directiva:



Rosendo Gómez Hernández                    Juan Gómez Ruiz




Antonio Vázquez Gómez                                   Elías Gómez Pérez




Lorenzo Pérez Ruiz



Festival x la libertad

La Defensa Legal de Alberto Patishtan presentará en esta semana los alegatos requeridos por el Primer Tribunal Colegiado. La resolución del caso podria darse en próximos 22 o 29 de agosto.

Les invitamos a ser presente en la perenigracion convocada por El Movimiento del Pueblo Del Bosque y por Las Abejas, en Tuxtla el dia 21 de agosto. Y al festival por la libertad frente al tribunal por la tarde de ese mismo dia.

Igual les invitamos a ir en el DF en la marcha del parque hundido hacia el consejo judicatura federal ese mismo dia.


domingo, 11 de agosto de 2013

Convocatoria catedra tata juna chavez alonso en san cristobal, CNI


Organizaciones Indígenas y el EZLN crean la cátedra “Tata Juan Chávez Alonso” en el primer aniversario de su ausencia


English Translation
Traduzione italiana
Traduction française
Tradução para o português
Deutsch Übersetzung

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CÁTEDRA CAMINANTE “TATA JUAN CHÁVEZ ALONSO”

Junio del 2013.

Somos los indios que somos, somos pueblos, somos indios. Queremos
seguir siendo los indios que somos; queremos seguir siendo los
pueblos que somos; queremos seguir hablando la lengua que nos
hablamos; queremos seguir pensando la palabra que pensamos;
queremos seguir soñando los sueños que soñamos; queremos seguir
amando los amores que nos damos; queremos ser ya lo que somos;
queremos ya nuestro lugar; queremos ya nuestra historia, queremos
ya la verdad”. Juan Chávez Alonso. Palabras en el Congreso de la Unión,
Marzo del 2001. México.





Hermanos y hermanas:

Compañeras y compañeros:

Ésta es la palabra de un grupo de organizaciones indígenas, pueblos originarios y del EZLN. Con ella queremos traer a nuestro lado la memoria de un compañero.

A un año de su ausencia, con su recuerdo como compañía, damos un paso más en la larga lucha por nuestro lugar en el mundo.

Juan Chávez Alonso es su nombre.

De su paso fuimos y somos camino.

Con él, el purépecha se hizo caminante de los pueblos que dieron origen y sostienen estas tierras.

Tata fue, y es, de los puentes que con otros levantamos para vernos y reconocernos en lo que somos y en donde somos.

Su corazón fue y es el alto asiento desde donde los pueblos originarios de México miramos aunque no seamos mirados, hablamos aunque no seamos escuchados, y resistimos, que es como nosotros caminamos la vida.

Su paso y su palabra buscaron siempre hacerse eco y voz elevada de los dolores y agravios del México del sótano.

El Congreso Nacional Indígena es una de las grandes casas que sus manos ayudaron a construir.

La lucha por el reconocimiento de los derechos y la cultura indígenas tiene en él, en su memoria, razón y motor para perseverar.

Lejos del pésame pasajero y el olvido pronto frente a su ausencia, un grupo de organizaciones y pueblos originarios buscamos la forma de alargar su paso con nosotros, de levantar su voz con la nuestra, de agrandar el corazón que con él somos.

Nosotras, nosotros, el colectivo color de la tierra que somos, hemos acordado en nuestro corazón y pensamiento, levantar, junto con el nombre e historia de este hermano y compañero, un espacio en el que sea escuchada, sin intermediarios, la palabra de los pueblos originarios de México y del Continente que llaman “americano”.

Y hemos pensado en nombrar a este espacio como “Cátedra Tata Juan Chávez Alonso”, para subrayar lo mucho que tienen que enseñar nuestros pueblos originarios en los calendarios de dolor que sacuden todas las geografías del mundo. Aquí podremos escuchar las lecciones de dignidad y resistencia de los pueblos originarios de América.

Pensada como un esfuerzo de continuación del Primer Encuentro de Pueblos Indígenas de América, celebrado en el mes de Octubre del 2007 en Vicam, Sonora, en el territorio de la Tribu Yaqui, la cátedra “Tata Juan Chávez Alonso” celebrará sus sesiones en distintos puntos de la América originaria en todo el continente, conforme la geografía y el calendario que vayan acordando sus convocantes y quienes se adhieran en su oportunidad.

Su objetivo no es otro que levantar una tribuna en la que los pueblos originarios del continente sean escuchados por quien tenga oído atento y respetuoso para su palabra, su historia y su lucha de resistencia.

Organizaciones indígenas, representantes y delegados de pueblos, comunidades y barrios originarios, serán quienes tomarán la palabra.

Como inauguración de esta tribuna, se realizará la

PRIMERA SESIÓN DE

LA CÁTEDRA CAMINANTE “TATA JUAN CHÁVEZ ALONSO”

En la que diferentes organizaciones, comunidades y pueblos originarios hablarán con voz propia de sus historias, dolores, esperanzas y sobre todo de su lucha de resistencia.

Con las siguientes bases:

1.- La primera sesión de la Cátedra “Tata Juan Chávez Alonso” se llevará a cabo a partir de los días sábado 17 y domingo 18 de agosto del 2013, en las instalaciones del CIDECI en San Cristóbal de Las Casas, Chiapas, México.

2.- Las organizaciones convocantes se constituyen desde ahora en Comisión Organizadora para invitar a participar a más pueblos originarios y para acordar todo lo referente al método de esta primera sesión.

3.- La Comisión Organizadora invitará especialmente a organizaciones, grupos y personas que han acompañado la lucha de los pueblos originarios de manera constante.

4.- En esta primera sesión participarán con su palabra los ahora convocantes y las organizaciones y pueblos originarios de México y del continente americano invitados por la Comisión Organizadora.

5.- Las sesiones son abiertas al público en general.

6.- Más información sobre el calendario y horario de participaciones, será dada a conocer en su oportunidad por la Comisión Organizadora.

En el mismo marco de la Cátedra “Tata Juan Chávez Alonso” y con su mirada como horizonte, las organizaciones indígenas y pueblos originarios participantes se reunirán aparte para proponer, con una convocatoria más amplia aún, el relanzamiento del Congreso Nacional Indígena en México, y hacer un llamado conjunto a los pueblos originarios del Continente para reanudar nuestros encuentros.

Por el reconocimiento y respeto de los derechos y la cultura indígenas.

CONVOCAN:
Nación Kumiai.
Autoridades Tradicionales de la Tribu Yaqui.
Tribu Mayo de Huirachaca, Sonora.
Consejo Regional Wixárika en Defensa de Wirikuta.
Comunidad Coca de Mezcala.
Radio Ñomndaa de Xochistlahuaca, (Pueblo Amuzgo), Guerrero.
Comunidad Zoque en Jalisco.
Organización de Comunidades Indígenas y Campesinas de Tuxpan (Pueblo Nahua), Jalisco.
Comunidad Nahua en Resistencia de La Yerbabuena, en Colima.
Colectivo Jornalero de Tikul (Pueblo Maya Peninsular), Yucatán
Comunidades Purépechas de Nurío, Arantepacua, Comachuén, Urapicho, Paracho, Uruapan, Caltzontzin, Ocumicho.
Comuneros Nahuas de Ostula.
Comunidad Nahua Indígena de Chimalaco, en San Luis Potosí.
La Otra indígena Xilitla (pueblo Nahua).
Comunidad Mazahua de San Antonio Pueblo Nuevo, Edomex.
Comunidad Ñahñu de San Pedro Atlapulco, Edomex.
Centro de Producción Radiofónica y Documentación Comunal de San Pedro Atlapulco (Pueblo Ñahñu), Edomex.
Comunidad Nahua de San Nicolás Coatepec, Edomex.
Ejido Nahua de San Nicolás Totolapan, DF.
Comuneros Nahuas de San Pedro Atocpan, DF.
Mujeres y Niños Nahuas de Santa Cruz Acalpixca, DF.
Mazahuas en el DF.
Centro de Derechos Humanos Rafael Ayala y Ayala (Pueblos Nahua y Popoluca), de Tehuacán, Puebla.
Asamblea Popular Juchiteca (Pueblo Zapoteco), Oaxaca.
Fuerza Indígena Chinanteca “KiaNan”.
Consejo Indígena Popular de Oaxaca-Ricardo Flores Magón, (Pueblos Zapoteco, Nahua, Mixteco, Cuicateco), Oaxaca.
Comité de Bienes Comunales de Unión Hidalgo, (Pueblo Zapoteco) Oaxaca.
Unión Campesina Indígena Autónoma de Río Grande (Pueblo Chatino y Afromestizo), Oaxaca.
La Voz de los Zapotecos Xichés en Prisión, Oaxaca.
Temazcal Tlacuache Tortuga de la comunidad de Zaachilá, (Pueblo Zapoteco), Oaxaca.
Colonia Ecológica la Minzita, (Pueblo Purépecha), Morelia, Michoacán.
Colectivo Cortamortaja de Jalapa del Marqués (Pueblo Zapoteco), Oaxaca.
Radio Comunitaria Totopo de Juchitán (Pueblo Zapoteco), Oaxaca
CIDECI-UNITIERRA, Chiapas.
CCRI-CG del Ejército Zapatista de Liberación Nacional (Pueblos Tzeltal, Tzotzil, Chol, Tojolabal, Zoque, Mame y Mestizo), Chiapas.



México, Junio 2 del 2013.



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Escucha y ve los videos que acompañan este texto:

En memoria de Don Juan Chávez Alonso. Realizado por la Cooperativa de Condimentos para la Acción Cinematográfica.



El Comandante Guillermo, presenta a Don Juan Chávez Alonso en el Festival de la Digna Rabia, en el CIDECI, San Cristóbal de Las Casas, Chiapas, México.



Baile tradicional “Los Viejitos”, interpretan moradores de la Casa del Estudiante Lenin, de Michoacán, México.


10 ans d´autonomie zapatiste dans le caracol d´oventic

10 años de autonomia. Fiesta en el caracol de Oventik

Textos de:
http://www.megafono.lunasexta.org/node/2025
http://regeneracionradio.org/index.php/autonomia/autonomia/item/3983-la-fiesta-por-los-10-a%C3%B1os-de-la-autonom%C3%ADa-zapatista

"Nous essayons de continuer a améliorer toutes nos aires de travail dans les municipalités autonomes et dans toutes les zones zapatistes, bien que nous reconnaissons que nous ayons fait des erreur, car nous sommes en train d´apprendre et il nous reste encore beaucoup a faire, il manque encore beaucoup a apprendre et améliorer notre travail dans tous les niveaux, d´une vie plus, plus digne plus humaine. Nous continuons de croire qu´un meilleur monde est possible, un monde ou entrent tous les mondes."

 

Le 9 aout 2013, ont commencé les festivités pour les 10 d´autonomies zapatiste, qui a été impulsée à partir de la création des caracoles et Juntas de Buen Gobierno. La célébration s´est réalisée dans les 5 caracoles qui consituent le territoire libre des rebelles. A cette fête, sont venus le peuple zapatistes, des organisations, des collectifs et individus sympathisants du zapatisme, car l´invitation étaient pour toutes les personnes de toutes parts du monde, sachant que la fête était basée de moments de partage, danse, et programmes sportifs. Dans le message central, est venu la parole des juntas de buen gobierno, à propos de la guerre de contre insurrection que le mauvais gouvernement continue d´utiliser contre les bases d´appui zapatistes, depuis le paramilitarisme et autres programmes déguisés d´assistencialisme social, qui, ont-ils signalé ne génère que des divisions, la pauvreté et d´autre carences.




Cela fait 10 ans qu´ont disparu les Aguascalientes, 10 ans d´articulation des luttes de résistance, d´autodétermination et de dignité. 10 ans à montrer au Mexique et au Monde avec le soutien de la Société civile, qu´étant maintenant le monde qu´il se veut pour le futur, on peut construire des projets qui vont plus loin des réalités néolibérales qui dominent l´humanité, construire des fissures  dans le gris mur du capitalisme.



Depuis le matin du 9 aout, à quelques 60 kilomètres de San Cristobal dans les Hauteurs du Chiapas, un groupe d´indigènes zapatistes encagoulés donnent la bienvenue aux hommes, femmes et enfants qui commencent à arriver depuis diverses zones qui sont atour du caracol II d´Oventic. Ce caracol appelé "Caracol Résistance et Rébellion pour l´humanité" héberge la Junta de Buen Gobierno, "Cœur Central des Zapatistes face au Monde" et il se vit en ces moments beaucoup de partage et participation entre les visiteurs et les habitants des communautés qui outre offrir l´amitié comme Compa, ils offrent à bas prix différentes nourritures et produits artisanaux tout comme leur musique. Ils ont aussi offert la possibilité que les participants offrent leur artisanat, livres, vêtement, magazines, et aussi leur musique.


Fotos @ Memo Gomez


Le matin a commencé tôt avec de mini tournois sportifs, foot basquet et volley donnant le motif pour qu´une grande partie des assistants puissent lâcher leur euphorie ou soupir, alors que les sportifs, malgré la pluie continue de lutter pour la victoire de leur équipe.

Vous trouverez ci dessous un article des médias libre de Mexico DF présentant et narrant la fete zapatistes dans le caracol d´Oventik.

10 aout 2013, Oventic, Chiapas. Aujourd´hui se sont terminés les tournois sportifs et toute la journée ont continué les activités culturelle, la musique et la danse, pour la nuit, durant des périodes de pluies, il y eut une dénonciation de la Junta de Buen Gobierno d´Oventik, qui démentait de nouveau, toute relation avec le gouvernement fédéral.

Durant toute la nuit la musique ne s´est jamais arrêter, il y eut seulement une pause entre 6 et 7 heures du matin, pour ensuite continuer. De même que les rythmes tropicaux zapatistes, il eut de la musique de groupes nationaux et internationaux: hip-hop, reggae et ste dub. La majorité de ces groupes seront le 11 aout durant le concert qui se réalisera durant les inscriptions de l´école zapatiste au CIDECI à San Cristobal de Las Casas

Bien que la fête dans les autres caracol se soit terminée le 9 aout, a Oventik elle a continué tout la journée du 10.

ILS DEMENTENT DES RELATION AVEC LE GOUVERNEMENT FEDERAL


Durant la nuit, tres tard dans la nuit, il y a eut une prononciation de la Junta de Buen Gobierno de Oventik, face a une photo d´ex zapatistes qui circulaient par internet, qui s´étaient fait prendre en photo face aux bureaux d´un leader autonome avec Jaime Martinez Veloz, Commission pour les dialogues avec les Peuples Indigenes du gouvernement fédéral. la photographie a été diffusé dans l´idée de montrer qu´une négociation entre zapatiste et gouvernement fédéral existait, mais la Junta a démandit fortement et absoluement une dite discussion et a accusé de traitres ceux qui apparaissaient sur la photo. La dénonciation s´est réalisée sur l´explanade du Caracol en Tsotsil et en Espagnol








Le Caracol de Oventic
Le Caracol d´oventic est une série de maisons et d´auditorium qui s´étendent à travers d´une rue-avenue, l´unique de ce caracol. Cette rue avenue est une descente prononcée, parfois en bitume, et sinon de pierre et de gravier. Sur ses cotés se trouvent les bureaux dela Junta, les conseils autonomes, la clinique La Guadalupana, tout comme des boutiques de collectifs et coopératives zapatistes. Tout en bas se trouve une grande esplanade, il y a une scène avec un toit et un terrain de basketball en dur, bien que la majeure partie de l´esplanade soit en terre

L´esplanade

C´est depuis l´esplanade qu´ont eu lieu la majorité des actes politiques depuis 1995. Avec le temps elle s´est de plus en plus équipé pour terminer comme une scène bien habilitée pour tout type d´activité. L´esplanade est très occupée ces derniers jours.  Bien que ce ne soit pas nécessairement le centre des célébrations qui se déroulent tout au long de cette rue avenue qu´est Oventic, et par la bas sur les champs avec des toits de plastiques et des tentes qui s´étendent des deux côtés de l´esplanade.

D´un cote on voit les toits de plastiques et tentes, et derrière eux, les champs de maïs bien haut

Dans l´esplanade s´est déroulé les larges concerts de quasiment 48heures et le tournoi de basket.

Les tournois sportifs.

Malgré la pluie, et les glissades, les tournois de basketball, de volleyball et football arrivent à leur fin. La remise des prix se fera à 18h30, toutes les équipes gagnantes sont locales, malgré le nombre incomptable d´équipes nationales et internationales qui se sont inscrits. Les autorités des municipalités autonomes font la remise des prix, qui est simplement un salut aux membres de l´équipe gagnantes, du 3* au 1er.


Après une journée complète de pluie, le sol est trempé et boueux. Si on reste de bout un temps on doit ensuite pousser fort sur ses pieds pour qu´ils se détachent de la boue. Ce sont dans ces conditions les équipes sportives courent joyeusement disputant leur tournoi. A 14heures de nouveau tombe la pluie fortement et pure crachin toute l´après-midi.
L´assistance
Le 10 il y eu moins de monde qu´hier, près de 2000 personnes sur tout le caracol, en comparaison aux 3 000 d´hier. Surement à cause de la pluie qui continue. On voit encore des gens arrivés pour repartir rapidement. Dans l´auditorium Emliano Zapata, beaucoup de gens dorment qui ne purent pas dormir durant la nuit.

 Il n´y a pas qu´un seul centre d´attention, il y a des gens qui vont voir les tournois sportifs bien couvert pour se protéger de la pluie, d´autres qui descendent écouter la musique et danser, dès que possible, et d´autres qui pullulent entre les postes et stands, avec les expositions des produits des différents collectifs et coopératives zapatistes et d´autres entre les différents stand d´alimentation.

Beaucoup de personne sont venu spécialement pour la fête, beaucoup d´entre eux retourneront a leur lieux d´origine, ce qui veut dire que toutes les personnes qui ont assisté à la fête ne se rendront pas à l´escuelita

LA MODE DE L´IMPERMEABLE AVEC DES SACS PLASTIQUES DE COULEURS

Les jours et semaines précédentes, le climat était très secs, en pleine période de pluie il ne pleuvait, avec de grandes conséquences pour les champs. Mais comme le dit un vieux dicton par ici, "à chaque fois qu´il y a des évènements zapatistes il pleut" et hier ça s´est confirmé. Comme on n´attendait pas la pluie, de nombreux nuages et de brouillard se sont formés ce qui a obligé beaucoup de personne a resté debout et a ne dormir que lorsque le jour arriva avec le soleil et la chaleur.

Aujourd´hui les gens se sont couvert de grands sacs plastiques de toutes les couleurs et se sont occupés durant un instant à faire des nœuds ou des trous pour ensuite mettre du scotch pour essayer de se protéger de la pluie. Ils s´en occupent minutieusement comme si s´était leurs vêtement du dimanche. C´est la mode de l´imperméable avec des sacs plastiques.


Et tôt le matin, les gens discutent sous leur imperméable de plastique, et se réjouissent de ne pas être trempés cette fois.

Et ainsi sous leur sacs de couleurs ils se saluent entre ces gens qui luttent d´autres parties du pays et du monde

Enfin le soir et le lendemain nombre de personnes partent pour le cideci pour  
s´inscrire pour l´Escuelita, malgré tout beaucoup de personnes restent sur   
l´esplanade.

Comunicado


Himno Zapatista


Consignas finales



Carcol de Oventik festeja sus 10 años de autonomia

10 años de autonomia. Fiesta en el caracol de Oventik

Textos de:
http://www.megafono.lunasexta.org/node/2025
http://regeneracionradio.org/index.php/autonomia/autonomia/item/3983-la-fiesta-por-los-10-a%C3%B1os-de-la-autonom%C3%ADa-zapatista

"Estamos tratando de seguir fortaleciendo todas las áreas de trabajo en los municipios autónomos y en todas las zonas zapatistas, aunque reconocemos que hemos venido fallando porque estamos aprendiendo y todavía nos hace mucho por hacer, falta mucho por aprender y mejorar nuestros trabajos en todos los niveles, de una vida más justa, más digna y más humana. Seguimos creyendo que un mundo mejor es posible, un mundo donde quepan muchos mundos."
 


El 9 de agosto de 2013 dieron inicio los festejos de los 10 años de autonomía zapatista, que fue impulsada a partir de la creación de los caracoles y las juntas de buen gobierno. La celebración se realizó en los cinco caracoles que constituye el territorio liberado por los rebeldes. A este hecho llegaron pueblos, organizaciones, colectivos e individuos simpatizantes al zapatismo, pues la invitación se extendió a personas de todas partes del mundo, a sabiendas de que la fiesta de los zapatistas está repleta de convivencia y baile, programas deportivos. En el mensaje central sobresalió la palabra de las juntas de buen gobierno respecto a la contrainsurgencia que el mal gobierno sigue utilizando en contra de las bases de apoyo zapatistas, desde paramilitarismo y programas disfrazados de asistencialismo social, los cuales –señalaron- sólo generan divisionismo, pobreza y demás carencias.



Son 10 años de la desaparición de los Aguascalientes, 10 años de articulación de luchas de resistencia, autodeterminación y dignidad. 10 años de demostrar a México y al mundo que con el apoyo de la sociedad civil, siendo en el ahora el mundo que se quiere para el futuro, se pueden construir proyectos que vayan más allá de las realidades neoliberales que plagan a la humanidad, construir grietas en el muro gris del capitalismo.



Desde la mañana del 9 de agosto a unos 60 kilómetros de San Cristóbal de Las Casas, en los Altos de Chiapas, un grupo de indígenas zapatistas encapuchados dieron la bienvenida a hombres, mujeres y niños que empezaron a llegar desde las diversas zonas que aglutinan el caracol II de Oventic. Este caracol llamado “Caracol Resistencia y Rebeldía por la Humanidad” se alberga la Junta de Buen Gobierno “Corazón Céntrico de los Zapatistas delante del Mundo” y se están viviendo momentos de mucha convivencia e involucramiento entre los visitantes y los pobladores de las comunidades que aparte de ofrecer la amistad como compas, ofrecieron a bajo precio distintas comidas y productos y artesanales, así como su música; dieron la oportunidad de que los asistentes ofrecieran también sus artesanías, sus libros, su ropa, sus zines y también su música.


Fotos @ Memo Gomez

10 de agosto de 2013, Oventic, Chiapas.- Hoy finalizaron los torneos deportivos y todo el día continuaron las actividades culturales, la música y el baile, de a ratos llovió y por la noche hubo una denuncia de la Junta de Buen Gobierno de Oventic desmintiendo de nueva cuenta cualquier relación con el gobierno federal.


Anoche la música no se detuvo jamás, sólo hubo un descanso entre 6 y 7 de la mañana, para luego continuar. Lo mismo se escucharon los ritmos tropicales zapatistas que la música de los grupos nacionales e internacionales: hip-hop, reggae y step dub. La mayoría de esos grupos estarán este 11 de agosto en el concierto que se realizará durante las inscripciones a la escuelita zapatista en el CIDECI en San Cristóbal de las Casas, Chiapas.
Si bien en otros caracoles la fiesta acabó el 9 de agosto, aquí continúa aún todo el 10.
Desmienten relación con gobierno federal


Por la noche ya muy noche hay un pronunciamiento de la Junta de Buen Gobierno de Oventic ante una foto de exzapatistas que circula por internet, que se tomaron frente a unas oficinas de un cabildo autónomo con Jaime Martínez Veloz, Comisionado para el Diálogo con los Pueblos Indígenas del gobierno federal. La foto se difundiría en el sentido de señalar una negociación entre zapatistas y gobierno federal, pero la Junta desmiente tajante y absolutamente dicha especie y acusa de traidores a quienes aparecen en la foto. La denuncia la realizan en la explanada del Caracol en tsotsil y español.





El Caracol de Oventic
El Caracol de Oventic es una serie de casas y auditorios que se extienden a través de una calle-avenida, la única del Caracol. La calle-avenida es una pronunciada bajada, en algunas partes es de concreto y en otras de piedra y grava. A sus lados se extienden las oficinas de la junta y los consejos de los municipios autónomos, la clínica La Guadalupana, así como tiendas de los colectivos y cooperativas zapatistas. Hasta bajo hay una gran explanada, hay un escenario techado y una cancha de basquetbol de concreto, aunque la mayor parte de la explanada es de terracería.
La explanada
En la explanada han ocurrido la mayoría de los actos políticos desde 1995. Con el tiempo se ha ido equipando, hasta quedar con un escenario bien habilitado para todo tipo de actividades. La explanada está muy movida estos días. Aunque no es necesariamente el centro de las celebraciones que se desarrollan a todo lo largo de la calle-avenida que es Oventic, y más allá, sobre los campos con techos de plástico y casas de campaña que se extienden a ambos lados de la explanada.
De un lado se vé el caserío de techos de plástico y casas de campaña y detrás de estos una milpa con las plantas de maiz bien altas.
En la explanada ocurre el larguísimo concierto de casi 48 horas y el torneo de basquetbol.
Los torneos deportivos
A pesar de la lluvia y los resbalones los torneos de basquetbol, voleibol y futbol llegan a su fin, la premiaciòn se realiza a las 18:30, todos los equipos ganadores son locales, a pesar de los innumerables equipos nacionales e internacionales que se inscribieron. Autoridades de los municipios autónomos hacen la premiación, que es simplemente un saludo a los miembros o miembras del equipo ganador del 3er, 2do y 1er lugar.
Tras un día completo de lluvia el piso ha quedado chicloso. Si uno o una se queda parado un rato, luego tiene que jalar fuerte los pies para que se despeguen del piso chicloso. En esas condiciones los equipos deportivos corren alegremente disputando sus respectivos torneos. A las 2 de la tarde cae de nuevo una lluvia de media hora y luego de a ratos está chispeando toda la tarde.
(No se supo que pasó con el equipo de futbol de los medios libres, acaso por no haber cumplido con su expectativa de haber avanzado hasta el penúltimo lugar del torneo).
La asistencia
Hoy hay menos gente que ayer, unas 2 mil personas en todo el caracol, frente a las 3 mil de ayer. Ello se debe a la lluvia de ayer y de anoche y la lluvia que continúa hoy. Se ve gente llegando, estando unas horas y después yéndose. En el auditorio Emiliano Zapata duerme mucha gente que anoche no pudo dormir.
No hay un único centro de atención, hay gente que se va a ver los torneos deportivos bien tapada para cubrirse de la lluvia, hay quienes bajan a escuchar la música y bailar cada que se puede y hay quienes pululan entre los puestos con las exposiciones de productos de los colectivos y cooperativas zapatistas y quienes se dan la vuelta entre los innumerables puestos de comida.
Mucha gente vino específicamente a la fiesta, luego de ello regresarán a sus lugares de origen, lo que quiere decir que no toda la gente que asistió a la fiesta venía a la escuelita.


La moda del impermeable con bolsas de plástico de colores
Había estado muy seco los días y semanas previos por acá, en plena temporada de lluvias no llovía, con las consecuencias para los campos de cultivo. Pero como dice un viejo dicho por aquí "Siempre que hay actos zapatistas llueve", y se cumplió ayer. Como no se esperaba la lluvia por eso se dieron las grandes empapadas de ayer y el frío anoche que obligó a que mucha gente se mantuviera despierta y durmiera hasta hoy por la mañana, cuando había llegado de nuevo el sol y el calor.
Para hoy la gente se hizo de grandes bolsas de plástico de todos colores, y se ocupan un rato en hacerles hoyos y nudos, y ponerles cinta canela para tratar de protegerse de la lluvia. Se ocupan concienzudamente, como si fuera la ropa para dominguear. Es la moda del impermeable con bolsas de plástico.
Y temprano, aunque aún no llueve, pero ya se nubla la gente se para en la calle-avenida de Oventic para platicar animadamente bajo sus impermeables de plástico, y mientras cae un chipichipi bien leve, ahí se mantienen, como haciendo las pruebas, y celebran que al menos esta vez no resultarán empapados, empapadas.
Y así bajo sus bolsas de colores se saludan con esa gente que lucha en otras partes del país y del mundo y que uno o una solo mira en alguna fiesta zapatista, como ayer y hoy y como hace 10 años.


La partida
Desde ayer se veía gente saliendo, alguna regresó. Hoy todo el día también se veía gente con sus maletas saliendo del caracol, pero dado que también había gente llegando por la noche en los actos culturales aún había una nutrida audiencia en la explanada del caracol.
Muchos grupos se avisaban de la salida a las 6 de la mañana de mañana para partir al CIDECI para el registro de la Escuelita Zapatista de La Libertad.
Desde el CIDECI en San Cristóbal de las Casas reportan que hoy inició el registro, mucha gente llegaba ya sabiendo a qué Caracol asistiría para tomar la escuelita.
Mañana el registro y el concierto
Mañana 11 de agosto continuará el registro para la Escuelita Zapatista y ocurrirá un concierto de 9 de la mañana a 9 de la noche, con bandas nacionales e internacionales. El concierto se transmitirá por komanilel.org y por http://seminarioscideci.org/Habrá una cobertura de los medios libres. En San Cristóbal de las Casas se transmitirá por el


Comunicado


Himno Zapatista


Consignas finales



Texto de Regeneracion Radio,




"Estamos tratando de seguir fortaleciendo todas las áreas de trabajo en los municipios autónomos y en todas las zonas zapatistas, aunque reconocemos que hemos venido fallando porque estamos aprendiendo y todavía nos hace mucho por hacer, falta mucho por aprender y mejorar nuestros trabajos en todos los niveles, de una vida más justa, más digna y más humana. Seguimos creyendo que un mundo mejor es posible, un mundo donde quepan muchos mundos."



El 9 de agosto de 2013 dieron inicio los festejos de los 10 años de autonomía zapatista, que fue impulsada a partir de la creación de los caracoles y las juntas de buen gobierno. La celebración se realizó en los cinco caracoles que constituye el territorio liberado por los rebeldes. A este hecho llegaron pueblos, organizaciones, colectivos e individuos simpatizantes al zapatismo, pues la invitación se extendió a personas de todas partes del mundo, a sabiendas de que la fiesta de los zapatistas está repleta de convivencia y baile, programas deportivos. En el mensaje central sobresalió la palabra de las juntas de buen gobierno respecto a la contrainsurgencia que el mal gobierno sigue utilizando en contra de las bases de apoyo zapatistas, desde paramilitarismo y programas disfrazados de asistencialismo social, los cuales –señalaron- sólo generan divisionismo, pobreza y demás carencias.



Son 10 años de la desaparición de los Aguascalientes, 10 años de articulación de luchas de resistencia, autodeterminación y dignidad. 10 años de demostrar a México y al mundo que con el apoyo de la sociedad civil, siendo en el ahora el mundo que se quiere para el futuro, se pueden construir proyectos que vayan más allá de las realidades neoliberales que plagan a la humanidad, construir grietas en el muro gris del capitalismo.



Desde la mañana del 9 de agosto a unos 60 kilómetros de San Cristóbal de Las Casas, en los Altos de Chiapas, un grupo de indígenas zapatistas encapuchados dieron la bienvenida a hombres, mujeres y niños que empezaron a llegar desde las diversas zonas que aglutinan el caracol II de Oventic. Este caracol llamado “Caracol Resistencia y Rebeldía por la Humanidad” se alberga la Junta de Buen Gobierno “Corazón Céntrico de los Zapatistas delante del Mundo” y se están viviendo momentos de mucha convivencia e involucramiento entre los visitantes y los pobladores de las comunidades que aparte de ofrecer la amistad como compas, ofrecieron a bajo precio distintas comidas y productos y artesanales, así como su música; dieron la oportunidad de que los asistentes ofrecieran también sus artesanías, sus libros, su ropa, sus zines y también su música.



La mañana inicio temprano con los mini torneos deportivos -fútbol, básquetbol, vóleibol- dando la pauta para que gran parte de los asistentes derrocharan euforia y suspiros con las anotaciones de los deportistas, que a pesar de la intensa lluvia siguieron interactuando en pos de lograr la victoria para su equipo.



Gran parte del día fue acompañado por la lluvia que para nada trasgredió los ánimos de los músicos rebeldes ni de los visitantes que durante todo el día se paseaban por el caracol. Una sorpresa para muchxs fueron las intervenciones musicales de algunas de las bandas solidarias de distintas partes del continente que participaron en el acoplado de Rola la lucha zapatista.



Las actividades políticas encabezadas por las JBG dieron inicio a las 8 de la noche, en donde se cantaron los himnos de México y el zapatista, se recibieron las banderas de México y la del EZLN, finalizando con la lectura al comunicado de los 10 años de autonomía a cargo de las autoridades civiles de la Junta de Buen Gobierno, rodeado el templete por los representantes regionales de la zona del caracol de Oventic; el comunicado se emitió en castellano, tzosil y tzeltal.



El evento político en este caracol durante el primer día de celebración cedió un poco antes de la media noche, pero la fiesta y el baile continúan hasta la mañana del 10 de agosto.



Enseguida puedes escuchar el comunicado que emitió la Junta de Buen Gobierno del Caracol II de Oventic, así como el Himno zapatista y las consignas con las que finalizó el acto político la noche del 9 de agosto.