Après 14 année de présence dans le pays, et malgré toutes les campagnes publicitaires, la chaine s'est vue obligée de fermer ses 8 restaurants qu'il a maintenu ouvert dans les trois principales villes du pays: La Paz, Cochabamba, et Santa Cruz de la Sierra.
Il sagit du premier pays latinoaméricain qui restera sans Mc Donald's et le premier pays au monde où l'entreprise ferme du fait d'avoir ses chiffres dans le rouge durant plus d'une décennie.
L'imapct pour les créatifs et chefs de marketing a été tellement fort qu'il fut tourné un documentaire sous le titre 'Por qué quebro McDonald's en Bolivia", où ils tentent d'expliquer d'une certaines façon les raisons qui ont amené les bolivien à continuer à préferes les empanadas aux hamburgers.
REJET CULTUREL
Le documentaire inclut des reportages de cuisiniers, sociologues, nutritionistes, éducateurs, historiens et autres, où l'on trouve une coincidence générale: le rejet n'est pas contre les hamburgers ou contre leur gout, mais le rejet est dans la mentalité des boliviens. Tout a commencé sur le fait que le "fast food" est l'antithèse de la conception qu'un bolivien a de comment se doit d'être une déjeuner.
En Bolivie, pour que la nourriture soit bonne elle a besoin, outre le gout, l'amour et l'hygiène, beaucoup de temps de préparation. C'est comme ça que juge la qualité de ce qui va dans l'estomac un consommateur. Les nord-américains ont ainsi jugé que le fast food n'est pas fait pour ces gens.
Páginas
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miércoles, 21 de diciembre de 2011
Fracaso de Mc Donalds en Bolivia: Rechazo cultural
McDonald´s se fundió por desinterés del público y cierra todos sus locales en Bolivia
- vDespués de 14 años de presencia en el país, la cadena se vio obligada a cerrar los ocho restoranes que mantenía abiertos en las tres principales ciudades del país: La Paz, Cochabamba y Santa Cruz de la Sierra
- Después de 14 años de presencia en el país, y a pesar de todas las campañas habidas y por haber, la cadena se vio obligada a cerrar los ocho restoranes que mantenía abiertos en las tres principales ciudades del país: La Paz, Cochabamba y Santa Cruz de la Sierra.
Se trata del primer país latinoamericano que se quedará sin McDonald´s y el primer país en el mundo donde la empresa cierra por tener sus números en rojo durante más de una década.
El impacto para los creativos y jefes de marketing ha sido de tal fuerza que se grabó un documental bajo el título “Por qué quebró McDonald´s en Bolivia”, donde intentan explicar de algún modo las razones que llevaron a los bolivianos a seguir prefiriendo las empanadas a las hamburguesas.
Rechazo cultural
El documental incluye reportajes a cocineros, sociólogos, nutricionistas, educadores, historiadores y más, donde hay una coincidencia general: el rechazo no es a las hamburguesas ni a su gusto, el rechazo está en la mentalidad de los bolivianos.Todo indica que el “fast-food” es, literalmente, la antítesis de la concepción que un boliviano tiene de cómo debe prepararse una comida.
En Bolivia, la comida para ser buena requiere, además de gusto, esmero e higiene, mucho tiempo de preparación. Así es como valúa un consumidor la calidad de lo que se lleva al estómago: también por el tiempo en que se hizo el manjar. La comida rápida, no es para esta gente, concluyeron los norteamericanos.
martes, 20 de diciembre de 2011
A 14 ans du massacre d'acteal, L'Autre Mémoire, Par Luis Martinez
Place des martyrs d’Acteal : L’autre mémoire
Luis MARTINEZ ANDRADE
tableau : Acteal, de Luciano Valentinotti http://www.losatajos.org/
Voilà douze ans qu’a été perpétré un massacre dans la communauté d’Acteal – crime d’Etat toujours impuni – où furent assassinés 45 indigènes tzotziles parmi lesquels se trouvaient des enfants et des femmes enceintes.
Walter Benjamin a écrit dans ses thèse Sur le concept d’histoire que : « Articuler historiquement le passé ne signifie pas le connaître « tel qu’il a été effectivement », mais plutôt devenir le maître d’un souvenir tel qu’il brille à l’instant d’un péril… Le don d’attiser pour le passé l’étincelle de l’espérance n’échoit qu’à l’historiographie parfaitement convaincu que devant l’ennemi, s’il vainc,même les morts ne seront point en sécurité. Et cet ennemi n’a pas cessé de vaincre ».
Voilà douze ans qu’a été perpétré un massacre dans la communauté d’Acteal (située au Chiapas, sud-est du Mexique) – crime d’Etat toujours impuni – où furent assassinés 45 indigènes tzotziles parmi lesquels se trouvaient des enfants et des femmes enceintes. Le gouvernement de Felipe Calderón du Parti d’Action National (P.A.N., parti politique conservateur) et la majeure partie de la classe politique du Mexique ont non seulement maintenu dans l’impunité les auteurs intellectuels qui ont orchestré ce crime tel que le mandataire Ernesto Zedillo –aujourd’hui conseiller de plusieurs entreprises privées nord-américaines– mais encore, le 12 août dernier la Cour Suprême de Justice de la Nation (S.C.N.J.) a ordonné la libération de 20 indigènes incarcérés et reconnus coupables suite à ce massacre, suivant l’argument qu’à l’époque des preuves avaient été fabriquées par le Bureau du Procureur Général de la République. Par la suite, le 4 novembre, furent libérés 9 paramilitaires de plus.
On peut mentionner que le 21 avril, le Centre des Droits de l’Homme Fray Bartolomé de Las Casas et l’organisation civile “Las Abejas” avaient averti du risque de libérer certains paramilitaires qui auraient participé à ce crime. Cependant autant pour la Cour Suprême de Justice que pour les “paladins du système”, c’est à dire, pour les avocats du Centre de Recherche et d’Enseignement Economique (C.I.D.E.), l’inconsistance des preuves était le motif pour monter une défense qui amènerait, à terme, à la libération de 29 détenus. Dans ce sens, nous devons ajouter à la liste des “mercenaires de la justice” [1] les noms de Hugo Eric Flores Cervantes – évangéliste et professeur au CIDE – et celui d’Hector Aguilar Camín –directeur de la revue Nexos – qui participèrent à cet artifice.
De plus dans un article publié le 20 décembre 2007, dans le quotidien mexicain La Jornada, Carlos Montemayor soutenait que c’était la caractéristique d’une stratégie de guerre et, par conséquent, la logique de guerre l’emportait sur une possible solution politique.
Dans ce climat d’amnésie délibérée, de répression systématique et de criminalisation des mouvements sociaux au Mexique nous devons prendre au sérieux la suggestion “benjaminien” que les morts ne sont point en sécurité. Le massacre d’Acteal est un autre chapitre de l’histoire qui nous prouve que “l’état d’exception” est la règle dans laquelle nous vivons. Cependant, le “continuum” de l’histoire, processus figé de nos temps fétichisés, s’est arrêté ce 22 décembre 2009 à Paris, où aux environs de 20h41 plus de vingt personnes se sont données rendez-vous au carrefour situé entre la Rue des Martyrs et le Boulevard de Clichy pour le baptiser du nom de : Place des Martyrs d’Acteal.
A ce croisement, 45 bougies furent allumées en souvenir des victimes. Ensuite, chacun des 45 noms a été lu et 45 ballons blancs ont été lâchés dans le ciel en mémoire de ces 45 morts. Cette initiative politico-symbolique fût organisée par l’association Espoir Chiapas et soutenue par le Comité de solidarité avec les peuples du Chiapas en lutte (C.S.P.C.L.) dans le but de commémorer les 12 ans du massacre d’Acteal, de protester contre la libération des 29 paramilitaires et contre l’augmentation des répressions et violences à l’encontre des droits des peuples indigènes du Chiapas.
En analogie avec David et Goliath, ce petit coin de mémoire baptisé pour quelques instants –les étincelles de Walter Benjamin– Place des Martyrs d’Acteal se situe dans un lieu qui défie “depuis en bas” une des images majeures de la bourgeoisie française : la Basilique du Sacré-Coeur construite pour célébrer l’écrasement de la Commune en 1871. C’est pourquoi, ce jeu asymétrique d’images dialectiques nous rappelle que “depuis en bas” germent les vrais éclairs de l’histoire.
Le massacre d’Acteal ne doit pas être oublié mais remémoré comme un authentique crime d’Etat et donc, il faut agir en conséquence en exigeant une sanction pour les coupables. Actuellement, la mémoire de la “dignité” les juge déjà et les condamne.
Luis Martínez Andrade
Sociologue. Premier Prix International d’Essai “Penser à Contre-courant” lors de sa VIème édition.
traduction par Elodie Ducasse
[1] D’aprés le Souscommandant Marcos, les “mercenaires de la justice” sont ceux qui pensent que la justice est un phénomène médiatique comme peut l’être la politique. Parmi eux se trouve le juge Baltasar Garzón qui “brille beaucoup en luttant contre l’ETA mais en réalité l’unique chose qu’il ait faite fût de s’en prendre à la culture basque. Il a fermé des journaux, emprisonné des journalistes, et lui présente cela comme inclu dans le combat contre le terrorisme”. Cfr. Corte de Caja. Entrevista al subcomandante Marcos, Laura Castellanos, Endira, México, 2008, p. 105.
[2] Priiste : membre du parti politique P.R.I., Parti Révolutionnaire Institutionnel, qui dirigea le pays pendant plus de soixante-dix ans.
Voilà douze ans qu’a été perpétré un massacre dans la communauté d’Acteal (située au Chiapas, sud-est du Mexique) – crime d’Etat toujours impuni – où furent assassinés 45 indigènes tzotziles parmi lesquels se trouvaient des enfants et des femmes enceintes. Le gouvernement de Felipe Calderón du Parti d’Action National (P.A.N., parti politique conservateur) et la majeure partie de la classe politique du Mexique ont non seulement maintenu dans l’impunité les auteurs intellectuels qui ont orchestré ce crime tel que le mandataire Ernesto Zedillo –aujourd’hui conseiller de plusieurs entreprises privées nord-américaines– mais encore, le 12 août dernier la Cour Suprême de Justice de la Nation (S.C.N.J.) a ordonné la libération de 20 indigènes incarcérés et reconnus coupables suite à ce massacre, suivant l’argument qu’à l’époque des preuves avaient été fabriquées par le Bureau du Procureur Général de la République. Par la suite, le 4 novembre, furent libérés 9 paramilitaires de plus.
On peut mentionner que le 21 avril, le Centre des Droits de l’Homme Fray Bartolomé de Las Casas et l’organisation civile “Las Abejas” avaient averti du risque de libérer certains paramilitaires qui auraient participé à ce crime. Cependant autant pour la Cour Suprême de Justice que pour les “paladins du système”, c’est à dire, pour les avocats du Centre de Recherche et d’Enseignement Economique (C.I.D.E.), l’inconsistance des preuves était le motif pour monter une défense qui amènerait, à terme, à la libération de 29 détenus. Dans ce sens, nous devons ajouter à la liste des “mercenaires de la justice” [1] les noms de Hugo Eric Flores Cervantes – évangéliste et professeur au CIDE – et celui d’Hector Aguilar Camín –directeur de la revue Nexos – qui participèrent à cet artifice.
De plus dans un article publié le 20 décembre 2007, dans le quotidien mexicain La Jornada, Carlos Montemayor soutenait que c’était la caractéristique d’une stratégie de guerre et, par conséquent, la logique de guerre l’emportait sur une possible solution politique.
Dans ce climat d’amnésie délibérée, de répression systématique et de criminalisation des mouvements sociaux au Mexique nous devons prendre au sérieux la suggestion “benjaminien” que les morts ne sont point en sécurité. Le massacre d’Acteal est un autre chapitre de l’histoire qui nous prouve que “l’état d’exception” est la règle dans laquelle nous vivons. Cependant, le “continuum” de l’histoire, processus figé de nos temps fétichisés, s’est arrêté ce 22 décembre 2009 à Paris, où aux environs de 20h41 plus de vingt personnes se sont données rendez-vous au carrefour situé entre la Rue des Martyrs et le Boulevard de Clichy pour le baptiser du nom de : Place des Martyrs d’Acteal.
A ce croisement, 45 bougies furent allumées en souvenir des victimes. Ensuite, chacun des 45 noms a été lu et 45 ballons blancs ont été lâchés dans le ciel en mémoire de ces 45 morts. Cette initiative politico-symbolique fût organisée par l’association Espoir Chiapas et soutenue par le Comité de solidarité avec les peuples du Chiapas en lutte (C.S.P.C.L.) dans le but de commémorer les 12 ans du massacre d’Acteal, de protester contre la libération des 29 paramilitaires et contre l’augmentation des répressions et violences à l’encontre des droits des peuples indigènes du Chiapas.
En analogie avec David et Goliath, ce petit coin de mémoire baptisé pour quelques instants –les étincelles de Walter Benjamin– Place des Martyrs d’Acteal se situe dans un lieu qui défie “depuis en bas” une des images majeures de la bourgeoisie française : la Basilique du Sacré-Coeur construite pour célébrer l’écrasement de la Commune en 1871. C’est pourquoi, ce jeu asymétrique d’images dialectiques nous rappelle que “depuis en bas” germent les vrais éclairs de l’histoire.
Le massacre d’Acteal ne doit pas être oublié mais remémoré comme un authentique crime d’Etat et donc, il faut agir en conséquence en exigeant une sanction pour les coupables. Actuellement, la mémoire de la “dignité” les juge déjà et les condamne.
Luis Martínez Andrade
Sociologue. Premier Prix International d’Essai “Penser à Contre-courant” lors de sa VIème édition.
traduction par Elodie Ducasse
[1] D’aprés le Souscommandant Marcos, les “mercenaires de la justice” sont ceux qui pensent que la justice est un phénomène médiatique comme peut l’être la politique. Parmi eux se trouve le juge Baltasar Garzón qui “brille beaucoup en luttant contre l’ETA mais en réalité l’unique chose qu’il ait faite fût de s’en prendre à la culture basque. Il a fermé des journaux, emprisonné des journalistes, et lui présente cela comme inclu dans le combat contre le terrorisme”. Cfr. Corte de Caja. Entrevista al subcomandante Marcos, Laura Castellanos, Endira, México, 2008, p. 105.
[2] Priiste : membre du parti politique P.R.I., Parti Révolutionnaire Institutionnel, qui dirigea le pays pendant plus de soixante-dix ans.
lunes, 19 de diciembre de 2011
Balance final Campana Mundia Dislocada Por la libertad de los presos de bachajon y la fin de la represion en chiapas
http://espoirchiapas.blogspot.mx/2012/01/bachajon-fotos-accion-mundial-dislocado.html
CAMPAÑA
MUNDIAL DISLOCADA POR LA LIBERTAD DE LOS PRESOS DE BACHAJÓN Y LA FIN
DE LA REPRESIÓN EN CHIAPAS
A
l@s Compañer@s de San Sebastian Bachajón,
A
los Compañeros presos de Bachajón y a todos los presos políticos,
A
las Juntas de Buen Gobierno, A las BAEZLN, Al CCRI,
A
la Sociedad Civil Las Abejas,
A
la Sociedad Civil Nacional E internacional,
A
l@ adherentes de La Otra Campaña,
A
la Zezta Internacional
A
los medios de Comunicación Alternativos,
Al
Centro de Derechos Humanos Fray Ba,
Al
Movimiento For Justice In El Barrio,
En
el marco de los “5 días de Acciones por los 5 de Bachajon” de
l@s compañeras y
compañeros de San Sebastián Bachajón, Movimiento Por La Justicia
En El Barrio, y el Centro de Derechos Humanos Fray Bartolomé De Las
Casas, después el éxito de los 5 primeros días y las acciones de
todos los kolectivos solidarios o individuales, Espoir Chiapas/
Esperanza Chiapas llamó a una Acción Mundial Dislocada.
Esta
Acción la hemos llamado “Ahora Solo Son Pancartas…”, solo
mostramos una de las
fuerzas que tenemos, y avisamos al malgobierno, a los males
gobiernos, que el pueblo unido jamás será vencido. Hoy solo
difundimos pancartas de protesta, pero ahora ya, saben con cuales
fuerzas contamos. Juntos lucharamos hasta que se liberen los presos
políticos de Chiapas. Demostramos tambien que se seguira pidiendo la
justicia y la fin de la violencia en Mexico con mas y mas fuerzas
locales, nacionales y internacionales. Hoy se juntan nuestras voces
frente a las guerras violentes, morales y sucias de los malos
gobiernos de Mexico y del Mundo. A nosotros no nos callaran ni nos
esconderan.
Por esta acción damos un primer paso hacia una
mobilisación general. Mostrar que si pues, si tocan a un@s, tocan a
tod@s. Hasta esta fecha, hemos recibido más de 74 acciones, de 29
países, de los 5 continentes, y 35 acciones desde Francia. Siguen
llegando más acciones.
Francia
Desde
Bretaña,
Desde
Lyon, denunciando los transgénicos en Francia,
Desde
Brousse Et Villaret,
Desde
Carcassone,
Desde
Preuseville,
Desde
Le Tréport,
Desde
Brest, Bretaña,
Desde
Besançon,
Desde
Rennes, Bretaña,
Desde
Vitré, Bretaña,
Desde
Corsica,
Desde
Fouras,
Desde
Marseille, durante un evento de sensibilización de Espoir Chiapas /
Esperanza Chiapas y
Amnesty
Internacional
Desde
Saint Ouen,
Desde
Berck,
Desde
Bordeaux,
Desde
Angers,
Desde
Saint Malot, Bretaña,
Desde
el Faro de la Isla Virgén, Bretania,
Desde
Les Champs Elysées, Paris, después de la proyección del documental
“Actéal 10 años de
impunidad
y cuanto más” con Amnestia Internacional Francia.
Desde
Dieppe,
Desde
Le Gard,
Desde
Sorans,
Desde
La Défense, Paris,
Desde
Lille,
Desde
Notre Dame Des Landes, Desde Notre Dame des Landes, en
luchas desde hace mas de 30 anos contra el mega proyecto de un
aeropuerto: "ZAD (zona a defender) Solidarios de las
luchas campesinas, libertad para los campesinos presos politicos de
Bachajon" Durante una occupacion de tierra para cultivar
y bloquear la construccion del aeropuerto, por una ocupacion efectiva
de las tierras,
Desde
Viroflay,
Desde
Magnanville,
Desde
Marseille,
Desde
Montmartre, Paris, denunciando la ley de restricción de las plantas
medicinales en Europea,
Desde
l’Opéra Garnier, Paris,
Desde
Torre Eiffel, Paris,
Desde
Saint Père Sur Loire,
Desde
Sceaux, y contra la contaminación por la explotación del gas de
schiste.
Desde
Vendée,
A
TRAVES DEL MUNDO
Desde
Guatemala Ciudad, Guatemala,
Desde
Marruecos, a Montmartre, No A la Injusticia, -Solidaridad
Agardir-Marruecos-
Desde
Edinburg, Escosia,
Desde
Holanda,
Desde
Liberia, Costa Rica
Desde
Adelanto, California, Estados Unidos,
Desde
Huddersfield, Ingleterra
Desde
El Trujillo, Honduras, y con la solidaridad del colectivo artista en
Resistencia del Frente
Nacional
de Resistencia Popular,
Desde
Argentina, del Bachilerato Popular Agustín Tosco
Desde
Madrid, España,
Desde
Finlandia,
Desde
Lund, Suécia,
Desde
Cuzco, Perú,
Desde
Poznan, Polonia,
Desde
Neo Zelandia, reivindicando los derechos de los pueblos Maori,
Desde
Noruega, el
LAG (Comité Noruego de Solidaridad con America Latina):
"Libertad a los 5 presos politicos de Bachajon y de la Voz del
Amate y Patricio Dominguez Vazquez",
Desde
Tanzania, África,
Desde
San Juan Del Sur, Nicaragua,
Desde
Los Angeles, Estados Unidos,
Desde
Colombia,
Desde
Curitiba, Brazil
Desde
Hambourg, Alemania,
Desde
Barcelona, España,
Desde
Leeds, Inglaterra,
Desde
Buenos Aires, Argentina, de Pañuelos
en Rebeldia,
un equipo de Educación Popular de
Argentina,
y denunciando la injusticia en el caso similar de Betty Carino
Desde
Second Valley, Autralia,
Desde
Bruselas, Bélgica, durante una marcha en contra el Nuclear
Desde
Montréal, Canada,
Desde
Alemania,
Desde
Ramallah, Palestina, grupo
de teatro Young Artists Forum,
Desde
Cisterna, Italia,
Desde
Macchu Picchu, Perú,
Desde
Concepcion, Chile,
DESDE
MEXICO
Desde
la Tierra Sagrada de Actéal, Chiapas, Mexico, denunciando igual las
detenciones ilegales, la
injusticia
y la impunidad, y las Presas Politicas.
Desde
Mexico Distrito Federal, Mexico,
Desde
Oaxaca, Mexico,
Desde
Tapachula, Mexico
Desde
San Cristobal de Las Casas, Mexico
Desde
Mexico DF, Mexico,
Desde
Chihuahua, Mexico,
“Presos
Politicos del Mundo, hoy..en especial quiero darle las gracias a la
vida
que me ha mostrado la injusticia del ser humano la he visto y
conocido en carne propia. Gracias
vida!
Gracias injusticia! Me haz ensenado que de nada sirve vivir, si nos
estas dispuesto a morir, por
devolverle
la justicia al mundo”
Asi
vamos entonces. L@s invitamos a conseguir esas acciones, a juntar ese
movimiento hasta
que
se liberen los presos políticos de Chiapas. Infórmenos de su lucha
local, porque nuestras luchas
son
las de tod@s y tod@s las compartemos.
Les
invitamos a descubrir dia por dia las próximas fotos de « Ahora
solo son Pancartas... »:
PRES@S
POLITIC@S! LIBERTAD YA!
RESPETO
DE LOS DERECHOS DE LOS PUEBLOS INDIGENAS Y DE LOS PUEBLOS DEL MUNDO!
FIN
DE LA REPRESIÓN EN CHIAPAS Y EN EL MUNDO!
FIN
DE LA IMPUNIDAD Y DE LA INJUSTICIA!
SI
TOCAN A UNOS TOCAN A TODOS!
VIVA
LA AUTONOMIA!
EL
PUEBLO UNIDO JAMAS SERA VENCIDO!
Atentamente,
Asociación
Espoir Chiapas / Esperanza ChiapasDia
28 de Abril 2011
Réutiliser ses semences sera sanctionné!
Les agriculteurs sèment le trouble pour conserver le droit de... semer
dimanche 18.12.2011, 05:28 - La Voix du Nord
Hier, des agriculteurs ont semé du blé dans le centre de Phalempin pour critiquer Thierry Lazaro, rapporteur du projet de loi.
| PROTESTATION |
« Qui sème des lois "à la con" récolte du blé sur son gazon. » La colère se lit sur les banderoles ...
déployées, sur les visages fermés des agriculteurs. Hier matin, ils se sont rassemblés à Phalempin pour critiquer, à grands renforts de slogans, une proposition de loi adoptée le 28 novembre dernier par le Parlement. Et qui remet en cause, selon eux, « un droit ancestral de ressemer une partie de leur propre récolte », d'une année sur l'autre.
Car, dans les semaines à venir, les agriculteurs devront verser une taxe aux semenciers, dès lors qu'ils réutiliseront des semences protégées par le certificat d'obtention végétale. Jusqu'à présent, la Contribution volontaire obligatoire (CVO) n'était imposée que pour le blé. « La nouvelle loi étend cette taxe à 21 espèces », râle Antoine Jean, responsable de la Confédération paysanne du Nord - Pas-de-Calais.
« Ça pourrait vite chiffrer »
« On subventionne le travail des semenciers, c'est normal », reconnaît Bernard Coquelle, cultivateur à Auberchicourt. Il craint pourtant qu'à terme, toutes les semences soient taxées. « Et là, ça pourrait vite chiffrer », assure Antoine Jean. « Ça coûtera bientôt plus cher de replanter ses semences que de les acheter. On tend vers le monopole des semenciers. » Alors hier, pour marquer les esprits, ils ont sorti l'artillerie lourde : un semoir au beau milieu des espaces verts de la ville. « Prenez des graines de blé et jetez-les où vous voulez ! » Une action qui visait Thierry Lazaro, député-maire de Phalempin et rapporteur du projet de loi à l'Assemblée nationale.
Mais l'atelier semence ne suffisait pas. Les agriculteurs sont donc partis à l'assaut de la permanence parlementaire de l'élu, histoire de lui cracher leur indignation au visage. Et pour lui remettre le prix « Sauvons les riches », une mallette remplie de faux billets de 500 euros. Seulement sur place, l'ambiance a rapidement tourné au lynchage. Thierry Lazaro, hué et attaqué de toutes parts, n'a pas souhaité prolonger l'entretien, « avec ces gens de mauvaise foi ».
« Dès lors qu'on se sert d'un produit protégé, c'est normal qu'il y ait rétribution aux semenciers », argumente le député-maire.
Une attitude « scandaleuse », aux yeux d'Antoine Jean. « Il suffit de payer très cher la première fois qu'on achète une variété auprès des semenciers, mais je ne vois pas pourquoi ils devraient toucher des royalties sur ces graines ad vitam æternam. » Pour protéger l'industrie semencière française, « actuellement dans le trio de tête de la semence internationale », selon Thierry Lazaro. Un argument que n'entendent pas les agriculteurs. « On veut faire pression avant l'élection présidentielle », prévient Antoine Jean. Parce que cette loi sur les semences de ferme a été « votée en catimini ». Et qu'ils n'en veulent pas. •
MARIE DELATTRE
Agriculture : la réutilisation des semences sera sanctionnée, incroyable mais vrai!
Il est grand temps que cela pète bordel!!! Les traitres ont encore agit et veulent maintenant nous empêcher de réutiliser nos graines si nous en avons! C’est une chose qui est arrivée aux USA et en Inde, avec cela le nombre de suicide a grimpé en flèche chez les agriculteurs. Heureusement l’OM a gagné dernièrement, à ce qu’il paraît c’est bien plus important……
Le Parlement a adopté, lundi 28 novembre, une proposition de loi UMP sur « les certificats d’obtention végétale ». Il devrait simplifier l’utilisation de semences de variétés protégées. Une simplification contestée par certains syndicats professionnels, qui estiment qu’elle « bafoue » des pratiques agricoles ancestrales.Le texte du sénateur UMP Christian Demuynck a été adopté par le Sénat en première lecture le 8 juillet et transpose une convention internationale pour la protection des obtentions végétales de 1991. Voté dans les mêmes termes par l’Assemblée, lundi soir, le texte est donc adopté par le Parlement définitivement.Il conforte les spécificités du « certificat d’obtention végétale », un droit de propriété intellectuelle original créé par la France pour les semences afin d’éviter le recours aux brevets mis en place notamment aux Etats-Unis pour le vivant. Le ministre de l’agriculture, Bruno Le Maire, a défendu devant les députés le certificat d’obtention végétal, sinon « le modèle du brevet prendra le pas, c’est-à-dire la captation de toutes les nouvelles variétés performantes ».« SITUATION DE NON-DROIT »Le texte est contesté par des syndicats agricoles et collectifs car les agriculteurs devront désormais payer une indemnité, sous conditions, lorsqu’ils réutilisent leurs semences d’une année sur l’autre. Plusieurs dizaines de personnes, dont des militants de la Coordination rurale, se sont rassemblées devant l’Assemblée lundi pour protester.Selon M. Le Maire, la pratique des semences de ferme « doit être autorisée, mais elle ne peut pas être libre de droit comme elle l’est aujourd’hui ». Il a évoqué actuellement une « situation de non-droit » et « une incertitude juridique ». L’idée est aussi de « poursuivre le financement des efforts de recherche » et « de continuer d’améliorer les ressources génétiques », expliquent les défenseurs du texte.« MENACE CONTRE LES DROITS FONDAMENTAUX DES AGRICULTEURS »Le député Jean-Pierre Brard (apparenté PCF) a attaqué le ministre bille en tête : « Vous, c’est pas la sélection naturelle, c’est la sélection boursière ! », l’accusant de faire la part belle aux grands semenciers et d’opérer « un passage en force ». Anny Poursinoff (Europe Ecologie-Les Verts) a taxé le texte de « menace contre les droits fondamentaux des agriculteurs ». Pascal Brindeau (Nouveau Centre) a reconnu que « des questions subsistent ».Germinal Peiro (PS) a parlé de « dîme » et exhorté en vain le ministre à modifier le point sur les semences de ferme. « Vous êtes en train de livrer l’agriculture aux rois de la semence », a-t-il lancé en expliquant que les socialistes votaient contre. 200 000 agriculteurs utilisent leurs semences, a affirmé de son côté Frédérique Massat (PS). Le collectif Semons la biodiversité estime que ce texte « bafoue un droit ancestral des paysans ». « Cette proposition de loi digne de l’Ancien Régime a fait lever un vent de fronde dans les territoires ruraux. Et il risque fort d’emporter lors des législatives de 2012 bon nombre de députés qui la voteraient », poursuit ce collectif. La Confédération paysanne juge que « le droit des paysans de ressemer et d’échanger leurs semences est le fondement de l’agriculture et de la biodiversité, il ne peut pas être remis en cause au profit d’intérêts privés ».Source: naturealerte