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sábado, 27 de enero de 2018

Mujeres de todo el mundo se juntaran el 8 de marzo en el Caracol de Morelia


AVANCES PARA EL PRIMER ENCUENTRO INTERNACIONAL, POLÍTICO, ARTÍSTICO, DEPORTIVO Y CULTURAL DE MUJERES QUE LUCHAN.

(OJO: límite de registro de actividades el 9 de febrero 2018. Límite de registro de asistencia el 8 de marzo 2018)

Compañeras, queremos compartirles cómo va caminando el registro para el Encuentro a celebrarse los días 8, 9 y 10 de marzo en el Caracol de Morelia, zona Tzotz Choj, Chiapas, México.

En lo que hemos avanzado del correo hay 651 personas registradas, con edades que van de los 5 meses a los 75 años. 38 compañeras vienen con sus crí@s.

Los lugares del mundo de los que provienen son Alemania, Andorra, Argentina, Australia, Bolivia, Brasil, Canadá, Chile, Colombia, Costa Rica, Cuba, Dinamarca, Ecuador, El Salvador, Estado Español, Estados Unidos, Francia, Grecia, Guatemala, Honduras, Inglaterra, Italia, Nación Mapuche, Nación Cree y Ojibwa, Nación Navajo, Suecia, Nicaragua, País Vasco, Paraguay, Perú, Puerto Rico, República Dominicana, Suiza, Uruguay, Venezuela, y 27 estados de México.

Le CNI dénonce l'agression de la caravane du CIG & Marichuy au Michoacan


Mexique/CNI : Communiqué sur les agressions de la caravane du CIG (Conseil Indigène de Gouvernement)


Le CNI dénonce l'agression contre la caravane du #CIG et de notre porte-parole #Marichuy au Michoacán:
Dénonciation: Une attaque vient d'avoir lieu contre la caravane du GIC et notre porte-parole #Marichuy entre Tepalcatepec et Buenavista, #Michoacán par des sujets lourdement armés dans deux camionnettes qui ont arrêté, menacé et enlevé les téléphones cellulaires et le matériel photographique des journalistes accompagnant la tournée.
Publié le 23 Janvier 2018

Aux médias,
A la société civile nationale et internationale.

Aujourd'hui dans la matinée, la caravane du Conseil Indigène de Gouvernement (CIG) et sa porte-parole, María de Jesús Patricio, ont rencontré la communauté Nahua de Santa María Ostula dans le territoire récupéré des mains du crime organisé, qui a pillé des bois et des minéraux précieux dans le territoire indigène. Pendant le rassemblement festif et massif, nous avons réalisé qu'Ostula est une communauté libre et sûre, où la police communautaire prend soin du peuple, une résistance croissante contre la dépossession capitaliste.
Lorsque la caravane se dirigeait vers Paracho, ayant à peine quitté les limites de la municipalité de Tepalcatepec, et en dehors du territoire sous la protection de la Garde Communale d'Ostula et des groupes d'autodéfense qui s'y articulent, le dernier véhicule de la caravane, où les journalistes indépendants Daliri Oropeza, Aldabi Olvera, ont été transportés ainsi que Cristian Rodriguez, qui a parcouru la route du CIG et sa porte-parole depuis le début, a été intercepté et coincé par un camion gris HONDA CR-V, dans lequel circulaient cinq personnes portant des armes de haut calibre. Ces hommes ont forcé les compañeros Aldabi Olvera et Cristian Rodríguez à descendre, les ont menacés et les ont forcés à remettre leurs appareils photo et leurs téléphones cellulaires uniquement.

viernes, 26 de enero de 2018

Centro de Derecho Humano Frayba condena el feminicidio de Guadalupe Campanur Tapia



Cese de agresiones al Congreso Nacional Indígena


Condenamos el feminicidio de Guadalupe Campanur Tapia
Exigimos seguridad a defensoras del territorio en riesgo y a la caravana del CIG

El Centro de Derechos Humanos Fray Bartolomé de Las Casas (Frayba), se une a la demanda de justicia ante las agresiones a pueblos del Congreso Nacional Indígena, integrantes del Consejo Indígena de Gobierno, su red de apoyo y periodistas que hacen cobertura de su recorrido por el país.
El pasado 16 de enero, en el municipio de la Chilchota, Michoacán, fue encontrado el cuerpo sin vida de Guadalupe Campanur Tapia, indígena purépecha, defensora del medio ambiente y de los derechos de los pueblos originarios. Lupita fue fundadora de la Ronda Comunitaria de Cherán que custodia y defiende los bienes naturales y el territorio de Cherán.

jueves, 25 de enero de 2018

Samuel Ruiz, a 7 años de su partida

En Français ci-dessous


Legado del Sup Marcos y el Teniente Coronel Moisés para Samuel Ruiz

"Don Samuel Ruiz García no sólo destacó en un catolicismo practicado en y con los desposeídos, con su equipo también formó toda una generación de cristianos comprometidos con esa práctica de la religión católica. No sólo se preocupó por la grave situación de miseria y marginación de los pueblos originarios de Chiapas, también trabajó, junto con heroico equipo de pastoral, por mejorar esas indignas condiciones de vida y muerte."

Los gobiernos intentan callar y asesinan sus miembros, el Vaticano, la odia et quieren desaparecer la  Que es la teologia de la liberación, que se prendió en el continente latino americano hasta que el Papa quiso ponerla de rodilla?

Teologia de la liberacion por Luiz Martinez

La Teología de la Liberación nace bajo el influjo de las ciencias sociales en busca de un análisis crítico de la realidad dentro la reflexión católica. Su premisa: la salvación de Cristo no es en el más allá, sino aquí en la historia humana en lucha por una sociedad justa, que transforme la realidad, una “teología política” y misional en el mundo indígena que apela al realismo de la reencarnación sociocultural, como la de Cristo.


Teologia de la liberación, entrevista con Enrique Dussel

"cuando lees la Teología de la Liberación Latinoamericana se da cuenta que es una teología que está ligada a nuestra realidad y que está explicando las contradicciones de nuestra cultura. Es una diferencia abismal; por eso es que es la única latinoamericana y ha sido muy perseguida, pero necesariamente va a tener que resurgir. "

Raul Vera, el "otro obispo", defensor de los indigenas, migrantes, homosexuales, oprimidos...

“Estar 4 años en Chiapas me cambió profundamente la vida”, resume y a cada rato vuelve a mencionar su experiencia. “Fue el factor personal de don Samuel (Ruiz, 1924-2011); el factor de los pueblos originarios, una cultura llena de humanismo; y el factor de una iglesia que traducía el evangelio a la vida”.





Samuel Ruiz par le Sipaz


Figure clé de la théologie de la libération ayant clairement affirmé son option préférentielle pour les pauvres, il a joué un rôle très important dans la prise de conscience et la consolidation des processus d’organisation des peuples indigènes au Chiapas, et ce notamment suite au Congrès Indigène de 1974. Samuel Ruíz García a aussi fait figure de médiateur dans divers conflits latino-américains, en particulier entre l’Armée Zapatiste de Libération Nationale (EZLN) et le gouvernement fédéral mexicain dans les années 90, ou, en collaboration avec d’autres intellectuels mexicains, entre l’Armée Populaire Révolutionnaire (EPR) 

Hommage de l´EZLN a Don Samuel Ruiz Garcia


Don Samuel Ruiz García ne s’est pas seulement distingué par un catholicisme pratiqué parmi et avec les dépossédés, il a aussi formé avec son équipe toute une génération de chrétiens engagés dans cette façon de pratiquer la religion catholique. Il ne s’est pas seulement soucié de la grave situation de misère et de marginalisation des peuples originaires du Chiapas, il a aussi travaillé, avec une héroïque équipe pastorale, à améliorer ces indignes conditions de vie et de mort.




La théologie de la libération




"Courant de pensée chrétien, la Théologie de la Libération est fondée sur la notion de "libération", en rapport avec la libération du peuple juif, qui, guidé par Moïse, se libère du joug de l'esclavage de l'Egypte, et traverse la Mer Rouge vers la Terre Promise. On veut libérer le pauvre du joug de la servitude et de l'exploitation.

C'est une théologie, donc un "discours sur Dieu". Mais c'est une théologie "d'en bas", c'est à dire que plutôt que de discourir sur un Dieu "dans les nuages", elle prend comme point de départ de sa réflexion le point de vue du pauvre et de l'opprimé. En ce sens, sa dimension la plus importante est une dimension sociale et politique."

Vatican II et l'église d'Amérique Latine




"Medellin a été le laboratoire d´une nouvelle idée de Dieu. Nait une théologie proposée par des théologiens qui parlent de la libération des opprimés et suggèrent une relecture de la bible depuis la perspective des pauvres et du Dieu qui a libéré son peuple de l´esclavage d´Egypte. La phrase “heureux les pauvres” se réinterprète, niant la signification traditionnelle qui valorisait la pauvreté. On la perçoit maintenant comme un péché social. Cette “théologie de la libération”# examine tout ce qui, de son point de vue, empêche les pauvres d´accéder à une vie plus humaine: politiquement, économiquement et socialement"




Théologie de la libération, entretien avec Enrique Dussel




quand il lit la théologie de la libération latino-américaine, il se rend compte que c’est une théologie liée à notre réalité et qui explique les contradictions de notre culture. C’est une différence abyssale. C’est la seule qui soit latino-américaine. Elle a été très combattue, mais elle devra obligatoirement resurgir. Les futures théologies devront s’y référer.


Samuel Ruiz et le massacre d'Acteal



"Mais la veille, le jour où les cadavres furent transportés en autocar quelques parents des victimes vinrent me dirent qu’ils voulaient creuser un tombeau collectif. Pas seulement à cause du travail que représentait le creusement de 45 tombes en une seule journée ils voulaient élever un monument à l’espérance, car ils savaient que ces frères et sœurs ressusciteraient. Je me suis réjoui de cette idée : « c’est magnifique mes frères que vous le vouliez ainsi »."


miércoles, 24 de enero de 2018

Vers une médecine autonome et rebelle. (G. Diese)

Vers une médecine autonome et rebelle

lundi 15 janvier 2018, par Géronimo Diese @lAVOIEDUJAGUAR
Ci-dessous, la reproduction du texte en français de la présentation donnée (en espagnol) le 29 décembre 2017 par Géronimo Diese à l’université UniTierra Cideci (San Cristóbal de Las Casas, Chiapas, Mexique) à l’occasion de la seconde édition de la conférence [1] « ConCiencias por la Humanidad » (27-30 décembre 2017) convoquée par les zapatistes, en parallèle de la rencontre « CompArte » qui a eu lieu en juillet 2017.

http://www.pozol.org/wp-content/uploads/2017/12/EZLN-DIC-2017-POZOL-IV.jpg 
Introduction
Compañeras, compañeros, compañeroas zapatistas,
Je vous remercie de m’avoir invité, je remercie le Cideci de nous recevoir et l’équipe d’appui à la commission Sextapour l’organisation de cette conférence. Avant de commencer mon exposé, je souhaite m’excuser parce que j’ai choisi de faire cette présentation en castillan que je parle très mal et non pas en tzotzil ni tzeltal. Par ailleurs, le castillan n’est pas ma langue maternelle mais j’espère que vous comprendrez quand même mes mots et que mes mots traduiront ce que j’ai dans le cœur.
Maintenant, je me permets de me présenter : je suis chercheur dans une institution publique en France. Mon travail consiste à comprendre pourquoi certains parasites provoquent des maladies et comment les combattre. Ainsi, tout en réalisant une recherche fondamentale, j’ai choisi de participer à une science politiquement engagée qui puisse servir à l’émancipation des populations dominées. Peut-être que ma présentation vous semblera trop concrète mais je crois que, à l’image de l’expérience zapatiste, il est important de réfléchir et agir de manière conjointe et vice versa. Je ne présenterai donc pas uniquement des réflexions, ni des dénonciations, ni un cours de sciences fondamentales, mais aussi des actions directes possibles.

martes, 23 de enero de 2018

Las Abejas denuncian los feminicidios y rechazan firmamente la ley de seguridad interior

Fuente @acteal


Organización Sociedad Civil Las Abejas de Acteal
        Tierra Sagrada de los Mártires de Acteal
          Municipio de Chenalhó, Chiapas, México.
  
                                                                                  22 de enero del 2018.
Al Congreso Nacional Indígena
Al Concejo Indígena de Gobierno
A las y los defensores de los derechos humanos
A los medios de comunicación nacional e internacional
A la Sociedad Civil Nacional e Internacional
Hermanas y hermanos:
Desde Acteal repudiamos la ejecución de la compañera Guadalupe Campanur Tapia comunera de Cherán, Michoacán, cuyo cuerpo fue encontrado en las afueras de Chilchota, el martes 16 de enero del presente año.
La compañera Guadalupe Campanur, es fundadora del cuerpo de guardabosques de Cherán, activa en la lucha por la seguridad, la justicia y la reconstrucción del territorio comunal desde el 2011 hasta el día de su asesinato. Nosotros como pueblo tsotsil sobrevivientes de la Masacre de Acteal y miembros de una organización pacífica nos solidarizamos con la familia de la compañera Guadalupe y de la comunidad indígena p'urhépecha de Cherán. Hermanas y hermanos reciban nuestros abrazos.

La solution, c’est vous : arrivée du CIG au caracol de Morelia


reportage de Radio zapatista
mardi 24 octobre 2017

La solution, c’est vous – Le Conseil Indigène de Gouvernement arrive au caracol de Morelia, Chiapas.

Reportage de Radio zapatista, 15 octobre 2017
Traduction 7NubS
(Note : dans toute la région autour d’Altamirano et d’Ocosingo, le réseau de téléphonie cellulaire a été suspendu à partir du 15 octobre et la connexion internet y est extrêmement précaire, ce qui coïncide curieusement avec le passage de la caravane du CIG et de sa porte-parole…)

Visite du CIG en terre Zapatiste: Guadalupe Tepeyac.
La Candidate du CNI au chiapas pour une tournée dans les caracoles Zapatistes
Marichuy au Caracol de Roberto Barrio: " Il est temps de nous unir".
Conseil Indigène de Gouvernement dans le caracol de la Garrucha: "La tempête est déjà là".
"Capituler n'est pas une option" déclare le CIG à Palenque, Chiapas.
"L'autre" Candidate dénonce les entraves contre sa candidature.
Au Caracol d'Oventik, des dizaines de milliers de personnes accueillent le CIG
"Ni la porte-parole, ni le Conseil Indigène de Gouvernement, ni les zapatistes ne sont la solution : la solution, c’est vous". A quelques mots près, c’est ce qu’a dit la commandante Miriam au nom du Commandement Général de l’EZLN, durant l’acte de réception du CIG et de sa porte-parole au caracol de Morelia, Chiapas. Ce vous, interpellé pas seulement par la parole, mais dans la pratique, par l’exemple.

lunes, 22 de enero de 2018

Purépechas denuncian el ataque sufrido por la caravana del CIG y Marichuy


Comunicado sobre las agresiones a la caravana del CIG



A los medios de comunicación,

A la sociedad civil nacional e internacional.



El día de hoy por la mañana la caravana del Concejo Indígena de Gobierno (CIG) y su vocera María de Jesús Patricio se encontró con la Comunidad Nahua de Santa María Ostula en territorio recuperado de las manos del crimen organizado, quien saqueaba las maderas preciosas y minerales dentro del territorio indígena. Durante el festivo y multitudinario encuentro nos dimos cuenta de que Ostula es una comunidad libre, segura, donde la policía comunitaria cuida al pueblo, creciendo la resistencia en contra del despojo capitalista.

Cuando la caravana se dirigía a Paracho, habiendo salido apenas de los límites del municipio de Tepalcatepec, ya fuera del territorio bajo resguardo de la Guardia Comunal de Ostula y los grupos de Autodefensa que se articulan con ella, el último vehículo de la caravana, donde se transportaban los periodistas independientes Daliri Oropeza, Aldabi Olvera, Cristian Rodríguez, mismos que han cubierto desde un inicio el recorrido del CIG y su vocera, fue interceptado y arrinconado por una camioneta HONDA CR-V gris, en la cual viajaban cinco sujetos que portaban armas de alto calibre. Estos hombres obligaron a los compañeros Aldabi Olvera y Cristian Rodríguez a descender, los amenazaron y los obligaron a entregar sus cámaras y teléfonos celulares únicamente.

Etat de Mexico, Marichuy et la douleur des femmes.



              Depuis deux mois, Marichuy parcourt le pays. Comme promis, elle est allée à la rencontre des peuples originaires de l’État de Morelos, de Puebla, de Vera Cruz, du Tabasco, de Campeche, de Jalisco. Comme promis, elle a écouté, partagé leurs espoirs, leur souffrance. À chaque fois, les mêmes litanies de douleurs et d’impunité. Marichuy et le CIG, en côtoyant ces luttes, sèment des graines de résistances à chaque rendez-vous. Comme un écho de ce Mexique rebelle qu’elle arpente avec force et conviction, avec comme unique ambition d’armer les consciences et de : « Décoloniser la pensée capitaliste et patriarcale. Nous rendre à l’évidence qu’une autre forme de gouvernement est possible et qu’entre les ruines naissent les espoirs d’un monde nouveau».Fin Novembre, Marichuy a fait quatre escales dans l’état de Mexico, un des plus violents du pays. Deux pôles urbains où violences, féminicides et expropriations régissent le quotidien de millions de personnes (Texcoco, Ecatepec). Dans un des quartiers les plus sensibles de la capitale, Nezahuacoyotl, mais également à l’UNAM (1), où elle a longuement traité de la violence faite aux femmes.

Pour Marichuy, ces rencontres représentent un véritable défi dans un territoire où la question indigène est exsangue, où les liens de communauté n’existent quasiment plus, où les espoirs de changement sont annihilés par les stratégies de survie dans cette ville monstre qui dévore ses enfants. Chaque jour un peu plus…
             Première escale à Texococo, zone proche d’Atenco (2). Près du petit kiosque de la place centrale, les badauds passent. Les cireurs de chaussures travaillent. Les amoureux se bécotent sur les bancs publics. La foule n’est pas au rendez-vous. À peine, une centaine de personnes. La cérémonie commence dans la fumée du copal. Les danseurs aztèques dansent pour purifier l’espace, offrir la force à Marichuy et au CIG de porter leur parole. Le tambour vrombit et ramène la voix des combattants d’hier qui se mêle à ceux d’aujourd’hui. Une rencontre sous le signe d’une culture millénaire.

domingo, 21 de enero de 2018

Denuncian agresion en contra de la caravana del Consejo Indigena de Gobierno y su Vocera


L’image contient peut-être : 3 personnes, personnes debout, personnes sur scène et texteCOMANDO ARMADO ATACA A LA CARAVANA DE MARICHUY Y DESPOJA A LOS PERIODISTAS DE SU EQUIPO FOTOGRÁFICO.

Sujetos con armas de alto calibre detuvieron a periodistas que viajaban en la caravana que da seguimiento a la precandidata independiente del Concejo Indígena de Gobierno - Congreso Nacional Indígena, María de Jesús Patricio, ‘Marichuy’ y los despojaron de sus equipos fotográficos.
Cuando los reporteros se desplazaban a la altura de las localidades de Tepalcatepec y Buenavista, el comando que viajaba en dos camionetas los detuvo, amenazó y despojó de su equipo, además de celulares.

Algunos de los afectados dieron a conocer la agresión, hasta el momento no hay versión de las autoridades de lo sucedido.

La asociación civil Llego la Hora del Florecimiento de los Pueblos informa que El día de hoy por la tarde, si dio un ataque a la caravana del Consejo Indígena de Gobierno y su vocera, María de Jesús Patricio Martinéz, entre Tepalcatepec y Buenavista, Michoacán, por sujetos fuertemente armados que se trasportaban en dos camionetas. pararon, amenazaron y quitaron celulares y equipos fotográficos a periodistas que acompañaban el recorrido. manifestamos nuestra más enérgica protesta exigimos al Estado mexicano el esclarecimiento inmediato de los hechos.

Pablo González Casanova, Fernanda Navarro Juan Villoro, Gilberto López y Rivas, Rodolfo Suárez, Roco Ortega, Paulina Fernández Christlieb, Carlos López Beltrán, Margara Millán, Raúl Delgado Wise, Magdalena Gómez, Alicia Castellanos, Francisco Barrios, Francisco Morfin Otero; Paul Leduc, Mercedes Olivera Bustamante, Bárbara Zamora, Carolina Coppel, Rosa Albina Garavito Elías, Mardonio Carballo, Sylvia Marcos, Graciela Iturbide, Lidia Tamayo, Jorge Alonso, Juan Carlos Rulfo, Nestor Quiñones, Arturo Anguiano, Carlos Aguirre, Jean Robert, Rosalva Aida Hernández Castillo, Luis De Tavira, María Eugenia Sánchez,