Une rencontre inédite a eu lieu le samedi 20 janvier lorsque le CIG est entré en communication « virtuelle » avec la communauté internationale dans une vingtaine de villes dans le monde.
La visioconférence a été organisée par le réseau Con Marichuy Sin Fronteras (Avec Marichuy Sans Frontières), intégré par plus de 70 auxiliaires du CIG. Il s’agit de mexicain.e.s résidant à l’étranger s’étant donné comme tâche la collecte de signatures auprès de la communauté mexicaine dans le monde pour que la candidature indépendante de la porte-parole, Marichuy, soit enregistrée. Mais illes cherchent aussi à tisser des liens avec la communauté internationale dans les différentes géographies où illes se trouvent « avec ces personnes qui luttent et résistent contre les mêmes maux et les différentes formes du capitalisme.»
Les villes présentes à l’évènement étaient : Bruxelles-Belgique, Barcelone-Catalogne, Valence-Espagne, Séville-Espagne, Saragosse-Espagne, Madrid-Espagne, Santiago-Chili, La Haye-Pays Bas, Lyon-France, Marseille-France, Montréal-Canadá, Guatemala-Guatemala, Quito-Equateur, Rio de Janeiro-Brésil, Sao Paulo-Brésil, région Cauca-Colombie, Hambourg-Allemagne, Dortmund-Bochum-Allemagne, Londres-Royaume-Uni, Exeter-Royaume-Uni , Michigan-Etats-Unis.
Pendant l’échange, les auxiliaires ont expliqué les difficultés rencontrées pour la collecte des signatures : « nos communautés ne possèdent pas de carte d’électeur.rice ou elle n’est plus valide, nous rencontrons aussi des attitudes indifférentes et démobilisées face à ce qu’il se passe actuellement au Mexique »
Les auxiliaires en ont profité pour poser des questions sur la proposition du CIG et pour exprimer leurs inquiétudes et leur volonté de participer au projet du CIG même en dehors de la conjoncture électorale.« les difficultés, ne font autre que réaffirmer notre conviction qu’on a besoin d’ouvrir des espaces afin de rendre visible votre proposition et vous accompagner sur le chemin que vous êtes en train de tracer, avec ou sans signatures. »