“La culpa es de la flor”
"C'est la faute de la fleur"
27 décembre 2016.
"Le 30 février 2016, la revue électronique suédoise "River's Scientist Research Institute", spécialisée sur les thèmes scientifiques, a publié une étude qui pourrait peut-être révolutionner les sciences et leur application à l'environnement social.
Un groupe de scientifiques dirigés par les docteurs suédois Stod Sverderg, Kurt Wallander et Stellan Skarsgard a présenté une analyse multidisciplinairecomplexe qui est arrivée à une conclusion qui paraitra scandaleuse: il existe une relation directe entre l'augmentation de la quantité et de la qualité des mouvements féministes et la diminution du taux de natalité.
Combinant des méthodes statistiques, d'embryologie, de biologie moléculaire, de génétique et d'analyse comportementale, les scientifiques établissent que l'augmentation de la diversité et de l'hostilité du féminisme provoque une inhibition de la libido chez les hommes, ce qui réduit la fréquence des activités sexuelles reproductives.
Mais pas seulement. Les analyses en laboratoire montrent aussi que les spermatozoïdes des hommes exposés à l'activité féministe sont plus vulnérables que ceux des hommes qui n'y sont pas confrontés. Ce qu'on connait sous le nom de astebizisoermia, ou syndrome du "spermatozoïde paresseux", est plus présent chez la population masculine des sociétés où le féminisme occupe une place importante dans les relations sociales. Selon la prestigieusepublication en question, le docteur Everet Bacstrom du "Rainn Wilson Institute", dont le siège est à Londres, en Angleterre, a confronté les résultats de la recherche à un échantillon d'hommes européens, de classe moyenne, de race blanche et anglo-saxonne, et est arrivé à la même conclusion.
Pour leur part, les activistes féministes européennes Chloë Sevigny et Sarah Linden, consultées par la publication, ont déclaré que tout cela n'était qu'un sale stratagème de ce qu'elles ont appelé "le scientisme patriarcal".
Entre temps, le centre international de consulting pour les gouvernements "Odenkirk Associated", a déclaré, par le biais de ses porte-paroles James Gordon et Harvey Bullock, qu'ils recommandaient aux dirigeants des pays développés, je cite textuellement, "d'inhiber l'activisme et l'hostilité des groupes féministes", pour relever le taux de natalité de ces pays. De la même façon, ils ont déclaré qu'ils recommanderaient aux gouvernements des pays du Tiers Monde, principalement en Afrique et en Amérique Latine, d'encourager l'apparition et la participation de groupes féministes, principalement dans les zones marginalisées, afin de réduire le taux de natalité dans ces secteurs et éviter ainsi la prolifération des troubles sociaux.