"Le pouvoir au peuple"
peut seulement se mettre en pratique quand le pouvoir exécuté par les
élites sociales se dissous dans le peuple"
Murray Bookchin,
Anarchiste Américain
Comme
le mentionne Bookchin, inspirateur de la lutte au Kurdistan, le pouvoir
au peuple doit émaner du même peuple. Ce qui est unique et ce que nous
prenons tous en compte, c'est qu'il ne s'agit pas de le demander, de
l'exiger aux gouvernements, en manifestant, aux élites sociales, que
cela s'applique, sinon qu'il s'agit de le prendre. Pour cela les voix
sont nombreuses, entre autres elles sont les retombées de différentes
luttes et initiatives, comme la société civile Las Abejas, la
Constitution Citoyenne Populaire, le mouvement Zapatiste et de plus, à
travers la résistance et la désobéissance civile.
En
raison des différentes formes de répression, chaque fois plus profondes
et rattrapant au moins le quotidien collectif et individuel, plusieurs
recoin du peuple réaffirment et renforcent leurs convictions dans la
lutte pour la liberté, la justice et la dignité.
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Nous
l'entendons ainsi par le Peuple Croyant de Simojovel, quand il se
mobilise avec dignité cotre les corruptions et le monopole, pour de la
part des habitants de Pantelho en manifestant contre l'exploitation
minière qui amène la mort au bénéfice des élites,
ou pour les Femmes de Acteal et d'autres parties quand elles
s'organisent contre l'exclusion et le dépouillement, ou par Candelaria
el Alto qui lutte pour le respect de sa manière de s'organiser pour
défendre ses terres. Le peuple de Tuxtla Gutiérrez, quand il s'indigne
pour les mauvaises manoeuvres et la corruption de ses institutions au
regard des catastrophes environnementales pas si naturelles à propos de
leur patrimoine. Le peuple de Bachajon, à l'exercice de la justice en
regardant ses ressources naturelles pour le libre arbitre et l'usufruit
sur
Comme les migrants fatigués de fuir, se cacher face aux déshumanisme qu'ils endurent dans leur parcours pour le Mexique.
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