Au Mexique, malgré la situation généré par la COVID-19, AMLO s’oppose à l’arrêt des travaux
Malgré les critiques de certain.e.s journalistes, le président
Andrés Manuel López Obrador a annoncé dans son rapport trimestriel le
maintien de la construction des projets menés par l’administration
actuelle, tels que l’aéroport Felipe Ángeles, dans la base aérienne
militaire de Santa Lucía, la raffinerie de Dos Bocas, à Paraíso,
Tabasco, et la nouvelle ligne de chemin de fer: El Tren Maya, dans la
péninsule du Yucatán.
Il affirme lors de sa conférence de presse, que cette stratégie d’action « n’est pas une surprise, nous mettons en œuvre un programme qui a été approuvé par des millions de Mexicain.e.s lors des élections de 2018. Nous allons bientôt relancer l’économie et attribuer des emplois.”
Selon lui la priorité est donc de faire face au ralentissement économique provoqué par l’épidémie de coronavirus. Il explique qu’il est alors nécessaire de ne pas stopper les projets économiques stratégiques du gouvernement, essentiels pour assurer l’économie du pays et le plein-emploi. Par exemple, la réalisation de la première section de train maya génère environ 30 000 emplois.
Au moment où le pays est en récession, le président justifie ainsi le maintien de ces différents travaux comme essentiels pour aller au devant de la situation actuelle, malgré l’opposition des communautés locales concernées et impactées par cette décision.
Source : www.resumenlatinoamericano.org
Photo : Cuartoscuro
Il affirme lors de sa conférence de presse, que cette stratégie d’action « n’est pas une surprise, nous mettons en œuvre un programme qui a été approuvé par des millions de Mexicain.e.s lors des élections de 2018. Nous allons bientôt relancer l’économie et attribuer des emplois.”
Selon lui la priorité est donc de faire face au ralentissement économique provoqué par l’épidémie de coronavirus. Il explique qu’il est alors nécessaire de ne pas stopper les projets économiques stratégiques du gouvernement, essentiels pour assurer l’économie du pays et le plein-emploi. Par exemple, la réalisation de la première section de train maya génère environ 30 000 emplois.
Au moment où le pays est en récession, le président justifie ainsi le maintien de ces différents travaux comme essentiels pour aller au devant de la situation actuelle, malgré l’opposition des communautés locales concernées et impactées par cette décision.
Source : www.resumenlatinoamericano.org
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